Une journée sur Internet en une image
Dans la série « en une image », après les blogs du monde, je demande… Internet !
Source : www.onlineeducation.net
Dans la série « en une image », après les blogs du monde, je demande… Internet !
Source : www.onlineeducation.net
En farfouillant sur le web hier (Merci Intac !), nous sommes tombé sur une image qui résume parfaitement à elle seule la « blogosphère » mondiale. Quels sont les profils des bloggeurs ? De quoi parlent-il ? A quelle fréquence ? Combien de temps est-ce qu’ils y passent ? et surtout pourquoi bloggent-ils ? Autant de questions qui trouvent leurs réponses en un seul coup d’oeil…
Publiée dernièrement, une petite étude a été menée aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne sur l’utilisation des médias sociaux. Pour les organisations encore réticentes dans leur processus de communication à l’utilisation de ces nouveaux outils parfois jugés comme superficiels, voilà qui vous fera peut-être changer d’avis !
L’étude montre qu’il est désormais rentré dans les habitudes des jeunes (18-25 ans) de chercher leur information d’abord sur les sites communautaires afin d’obtenir un avis d’utilisateur et ce, avant de consulter le site officiel de la marque (19% de leur temps passé sur Internet l’est sur des réseaux sociaux) ou une publicité.
Facebook est le plus utilisé des médias sociaux, il est le principal lieu de partage d’informations avec l’entourage : amis, famille, amis d’amis. Sachant qu’un jeune a en moyenne 224 amis sur Facebook, l’information diffusée, qu’elle soit bonne ou mauvaise, l’est très rapidement et à grande échelle !
Cette génération marque une nette préférence pour l’utilisation de Facebook et de son service de courriel pour communiquer plutôt que les services de messagerie traditionnels. Ils sont deux tiers des membres à utiliser Facebook pour l’organisation d’événements. Cette utilisation est cependant plus faible chez les personnes de plus de 35 ans, pour qui le courriel est reste le principal outil.
À l’heure actuelle, où nos boîtes mails sont encombrées par des spams en tous genres, Facebook est un outil avec lequel l’utilisateur a la possibilité de choisir quelles informations il désire recevoir ou non. Les consommateurs ont toujours parlé des entreprises, de leurs produits et de leurs services, ce n’est pas un phénomène nouveau. Mais la nouveauté est d’avoir un outil qui facilite grandement le partage et qui offre la parole à tous (pour le meilleur mais aussi pour le pire !).
Alors à votre tour de rentrer dans le monde des médias sociaux pour communiquer avec vos clients !
On ne présente plus Philippe Gabilliet et encore moins ses leçons de vie. Voici la dernière en date :
Vivement la prochaine…
Les démarches environnementales lors de la conception des sites touristiques émergent peu à peu. Au-delà d’une anticipation sur les futures législations en matière de construction écologique, les structures de loisirs y trouvent là réponse à une demande de leur clientèle, ainsi qu’à une implantation plus raisonnée dans le site touristique.
Il n’existe pas de règle unique, déclinable pour tous les sites à l’image des hôtels standardisés et reproduits sur tous les continents. Le concept est de s’inspirer du lieu où l’on se trouve, afin d’utiliser ses atouts tout en évitant les impacts négatifs sur le contexte local.
Déjà utilisées dans le « resort » Ecofarm à Marrakech, mais aisément déclinables dans le cadre des stations de montagne, voici quelques idées de pratiques :
Adopter l’architecture écologique pour son site touristique c’est rendre la destination unique et donc attractive. Les clients ressentiront l’âme du lieu et la population sera réceptive à l’intégration du projet dans le territoire. Les sites touristiques peuvent être des exemples de nos réponses aux problèmes environnementaux en étant vertueux pour tous !
Bref, (re)-découvrez votre territoire, ses richesses et son histoire. Faites place à la créativité et à l’originalité pour votre futur modèle touristique !
Crédit illustration : www.ucciani-dessins.com
Après un petit tour à Montréal la semaine dernière, nous partons aujourd’hui pour le Colorado !
Alors que fut créée en 2007 en France la charte de développement durable en station, les stations des États-Unis se sont lancées depuis l’an 2000 dans un programme de développement durable, dont nous parlerons dans un prochain article, le « sustainable slopes program ».
Penchons-nous sur l’une de ses station signataire : Aspen Snowmass. Moins connue pour sa démarche « verte » que pour sa clientèle huppée… La station annonce être l’une des plus engagées dans le développement durable aux États-Unis. Elle mène des actions concrètes comme l’utilisation massive des énergies renouvelables, une politique active de construction de bâtiments « verts » ou encore en encourageant le covoiturage. Cet engagement est certifié tous les ans par un audit externe et indépendant. Snowmass est ainsi certifiée ISO 14001 depuis 2004, ce qui l’entraîne dans une démarche d’amélioration continue. Par ailleurs, elle est une des rares stations à publier un rapport de durabilité depuis 1999 ou encore à communiquer son empreinte écologique sur son site Internet. En France, la publication d’un rapport de développement durable n’est obligatoire que pour les entreprises cotées en bourse (loi NRE de 2001). L’objectif de Snowmass : mobiliser tous les acteurs de ce projet à travers la campagne « save snow ».
Pour avoir été à Aspen, nous restons assez sceptiques devant ces actions qui sont de probables effets d’annonces de la station. Comment se revendiquer « vert » sans faire du « greenwashing », quand on sait que le site est survolé toutes les dix minutes, en pleine saison d’hiver, par des jet privés amenant leur cortège de richissimes clients ? La véritable question de fond ici reste de savoir s’il est pertinent de communiquer sur les efforts de préservation de l’environnement faits par un site touristique lorsque l’ensemble des acteurs ne jouent pas le jeu ? Le risque d’avoir un « effet boomerang » est important.
Texte : Julia Cattoen et Armelle Solelhac – Image : Savesnow.com
Zoom aujourd’hui sur l’Office de Tourisme de Montréal et sa stratégie publicitaire 100 % web. Depuis 2008, la ville consacre tout son budget promotionnel à Internet, notamment à travers sa nouvelle plateforme.
Cette stratégie suit la tendance des touristes, à l’image des 70% de canadiens préparant leur séjour sur Internet. En France, 65% des vacanciers cherchent des informations sur leur voyage en ligne et pour 23% le web sera leur seul outil de réservation.
Dès lors, l’objectif de Tourisme Montréal consiste à augmenter sa visibilité Web à travers la multiplication des bannières promotionnelles sur les autres sites de voyages, sur les blogs ou encore les forums. Son site internet attractif permet aux voyageurs de laisser leurs impressions tout en offrant un contenu varié, riche et régulièrement mis à jour.
Pour sa campagne « Get the local buzz from Montreal Insiders », Tourisme Montréal a recruté 5 « blogueurs », chargés de publier 3 articles par semaine sur leur thème de prédilection à savoir : les arts et la culture, la gastronomie, la vie nocturne, les sorties de filles ou encore la vie gay. Au-delà de leur blog, ces ambassadeurs de la ville sont présents sur les médias sociaux et sur les forums ayant trait à la ville. Le but est de montrer Montréal sous son vrai visage en donnant un avant-goût de ce qui attend le touriste. Montréal mise donc sur la qualité de son contenu web en offrant de la « saveur locale » au visiteur pour se démarquer des sites web touristiques classiques !
Le spot de pub TV du jour nous arrive tout droit du pays de la fondue… la Suisse ! Il illustre de façon rigolote et décallée l’importance du recyclage.
Bref, pas de grande leçon de morale, ni d’explication compliquée, mais le « recyclage » d’une scène de film bien connue et une touche d’humour sont les ingrédients de cette bonne recette. Enjoy !
Aujourd’hui, nous partagons avec vous la « welcome attitude » proposée par la ville de Lyon. La ville mise beaucoup sur l’organisation de grands congrès (plus de 1 500 personnes) et a donc décidé de s’investir dans l’accueil des visiteurs pour leur laisser le meilleur souvenir possible. C’est une stratégie de différenciation pour se distinguer parmi les villes concurrentes.
Ce projet réunit de nombreux partenaires pour proposer un « welcome pack ». Ce kit vise à répondre aux problématiques principales du visiteur. Dans les gares et les aéroports, une signalétique visuelle et des bandes sonores aident à l’orientation dès l’arrivée. Dans la ville, des kiosques d’information proposent de nombreux services d’aide à l’orientation, mais aussi des réductions pour certains commerces et restaurants. Enfin, des salons spéciaux pour les cocktails à l’hôtel de ville ou le tapis rouge dès la sortie du TGV sont autant d’idées mises en oeuvre pou assurer un accueil de qualité. Côté personnel, des agents d’accueil sont présents en ville et dans le métro pour répondre aux visiteurs.
Cette « welcome attitude » lancée au départ par les partenaires institutionnels n’a pas pour vocation de se limiter aux professionnels. L’objectif est de développer un état d’esprit d’accueil pour tous les visiteurs de l’agglomération, touristes ou visiteurs de congrès. Le développement des greeters, dont nous avons déjà parlé précédemment, se situe dans la continuation de cette initiative.
Crédits photos: Philty Photos
« C’est pas gagné », « les temps sont durs », « c’est la crise ! » On nous rabâche à longueur de journée ces petites phrases, qui peu à peu font leur travail de sape.
Alors comment résister et rester optimiste dans les périodes difficiles ? Philippe Gabilliet partage une fois de plus avec nous l’une de ses leçons de vie :