L’Epic Pass gagne l’Autriche !

Un an après avoir développé un partenariat similaire avec Verbier en Suisse, Vail Resorts (USA) annonce que le domaine autrichien d’Arlberg rejoint le cercle inédit des stations de l’Epic Pass ! Ce sont ainsi cinq stations tyroliennes mythiques qui font leur entrée : St Anton, St Christoph, Stuben, Zürs et Lech.

Après des innovations telles que l’EpicMix, Vail Resorts propose donc des expériences client toujours plus originales et développe un pass inédit dans le monde du ski. Le détenteur de ce forfait à 689$ (adulte) ou 359$ (enfant) se voit offrir un domaine skiable extrêmement vaste et diversifié comprenant pas moins de 9 stations aux USA. Dès 2013-2014, ce seront ainsi cinq jours de ski consécutifs gratuits dans les stations du domaine d’Arlberg qui seront mis à disposition du client, en plus de l’offre de base.

 

 

« Les titulaires de l’Epic Pass bénéficient déjà d’une expérience incroyable avec un accès illimité à sept stations de classe mondiale que sont Vail, Beaver Creek, Breckenridge, Keystone, Heavenly, Northstar et Kirkwood (plus Arapahoe Basin et maintenant Eldora), mais l’ajout de domaines skiables mondialement reconnus en Autriche et en Suisse rend l’Epic Pass encore plus convaincant pour nos clients à la recherche de vacances au ski en Europe » déclare Kirsten Lynch, vice présidente and responsable marketing de Vail Resorts.

Du 6 décembre au 27 avril 2014, les skieurs passionnés de ski US pourront ainsi enrichir leur expérience en Europe et parcourir les 340 kilomètres de pistes balisées, 94 remontées mécaniques et 200 kilomètres de zones hors-pistes du domaine d’Arlberg !

[Booklub] Réussir avec les réseaux sociaux – de Jean-François Ruiz

« Il est primordial de s’avoir s’entourer des bonnes personnes » – Jean-François Ruiz

Quel réseau choisir selon votre usage ? Qu’est-ce qu’un bon réseauteur ? Comment le réseau vous impacte-t-il ? Dans son ouvrage « Comment réussir avec les réseaux sociaux », Jean-François Ruiz donne les clés pour développer son réseau et le cultiver. Théorie et exemples pratiques répondent aux questions et composent cet ouvrage à l’approche avant tout professionnelle. Nous vous proposons ci-dessous un résumé en quelques slides. Bonne lecture !

Et si vous envoyiez votre profil Facebook en vacances ?

 

En lançant l’application MyCapeTownHoliday, la capitale sud-africaine innove et présente sa destination sous un nouvel angle. Retour sur une campagne originale et engageante qui a séduit plus d’un internaute !

Face à la problématique de redynamisation de sa fréquentation touristique, Cape Town a fait la démarche de mettre en avant les lieux les plus insolites (et souvent les moins fréquentés) de la ville. Loin des photos paradisiaques de TripAdvisor ou de LonelyPlanet, la ville a collecté des milliers de photos plus surprenantes les unes que les autres.

Le concept est simple : en s’inscrivant via un formulaire en ligne, l’utilisateur autorise Cape Town à publier automatiquement des messages sur son profil Facebook. Durant cinq jours, son compte Facebook s’offre donc virtuellement une escapade sud-africaine et fera découvrir quotidiennement à sa communauté les merveilles cachées de la région (via des photos, des statuts et des vidéos). Si le participant est plutôt sportif ou friand de visites culturelles, l’application propose même de choisir ses activités préférées sur les cinq jours. D’après les anecdotes des utilisateurs, nombreux sont leurs amis qui ont cru à leur départ soudain pour l’Afrique-du-Sud !

 

 

Pour ne pas être redondant et proposer chaque jour un contenu pertinent, la ville a du programmer plus de 400 statuts différents, 150 vidéos et 10 000 photos de vacances. Enfin, pour accroître la participation, un séjour à Cape Town était à gagner, mais cette fois-ci pour de vrai 🙂

Si certains jugent le concept comme intrusif, les résultats de l’opération sont extrêmement  positifs :

  • Près de 30 000 personnes ont utilisé l’application.
  • Plus de 580 000 personnes ont découvert l’opération via Facebook.
  • Les retombées presses sont équivalentes à un budget de 30 000 euros.
  • Des records historiques de fréquentation ont été enregistrés sur certains sites.
  • Le tourisme global a augmenté de +4%.
  • Enfin, la ville constate déjà une augmentation de +118% sur les réservations pour l’an prochain.

En transformant de simples inconnus en ambassadeurs de la ville, Cape Town s’est assurée une visibilité à un très large potentiel d’audience (proches, amis des amis, etc.). La ville a également pu enrichir son carnet d’adresses avec des milliers d’emails qualifiés. Une démarche qui devrait inspirer, on l’espère, de nombreuses destinations !

 

Les ingrédients d’une bonne histoire – Andrew Stanton

Andrew Stanton est le scénariste du premier film entièrement produit avec un ordinateur, Toy Story (Pixar Animation Studios). Il a reçu deux Oscars pour l’écriture et la réalisation de Finding Nemo et WALL-E.

Il nous explique à l’occasion de cette conférence TED enregistrée à Longbeach en février 2012 (durée : 20′ – sous-titres : français) quels sont les ingrédients pour concocter une bonne histoire.

Le visuel a de l’avenir !

Les nouveaux outils que sont les média sociaux permettent aujourd’hui aux entreprises de créer un univers autour de leur marque et de faciliter l’identification des consommateurs. Avec l’apparition des réseaux comme Pinterest et des applications mobiles comme Instagram, une nouvelle forme de communication a vu le jour. L’image représente un enjeu capital pour les marques qui cherchent sans cesse à aller au-delà du texte. Analysons pourquoi l’avenir sera multimédia…

Par nature, les réseaux sociaux facilitent la viralité de l’image. Si le tweet de Barack Obama « Four more years », le plus retweeté (plus de 800.000 retweets), a eu un tel impact sur la toile, c’est grâce à l’image forte qui y était associée, à savoir le Président enlaçant son épouse.

A l’heure actuelle, les marques ont bien compris l’intérêt d’utiliser des images sur les média sociaux. Après la tendance (ou plutôt le retour !) du format GIF sur la toile, c’est au tour de Facebook de lancer prochainement ses « images interactives » et décliner une plateforme de veille multimédia. Dès que nous survolerons les visuels sur Facebook, un contenu supplémentaire apparaîtra en pop-up. Les marques pourront donc bientôt utiliser cette nouvelle fonctionnalité imaginée par la startup ThingLink, afin d’enrichir leurs visuels avec de la musique, ou encore de la vidéo…

 

 

Véritable nouveauté qui viendra encore compléter le storytelling des marques, cette propriété s’accompagnera d’une fonction « analytics » payante qui permettra d’évaluer précisément les retombées des publications.

Toutefois, un terrain reste encore inexploité : celui des images partagées sur la toile par les autres internautes, et non par la marque elle-même. Ces visuels suscitent des émotions et des réactions qui ne sont pas « sous contrôle » et peuvent rapidement devenir néfastes pour l’entreprise en question.

De manière globale, les images ont révolutionné notre relation à l’information. Avec nos smartphones dotés d’appareils photos à plusieurs millions de pixels, le concept d’images « virales » est né et a bouleversé la manière de traiter l’actualité. Les relais de l’ouragan Sandy sur la côte Est des Etats-Unis ou encore plus récemment, celui des attentats lors du marathon de Boston nous font prendre conscience de l’impact du multimédia.

L’entreprise LTU Technologies, en charge de la surveillance des contenus visuels, vient de publier une infographie (ci-dessous) sur ce sujet et met en garde les marques quant à la problématique de surveillance globale des espaces numériques. Une mise au point qui viendra surement bouleverser certains monitorings…