Les bons plans de SWiTCH

Le SAM en différé : le séminaire de l’OITAF

Lors du SAM 2010, nous avons pu suivre le séminaire organisé par l’OITAF sur le thème «Management environnemental dans le domaine des installations à câbles». Les intervenants ont transmis leur expérience et leur savoir-faire sur les thématiques du développement durable à travers les thématiques de la gestion de l’eau, de l’énergie et des transports en montagne. Petit aperçu des sujets abordés lors de cette journée…

  • Ulrike Pröbstl, de l’université pour la culture du sol de Vienne a présenté l’audit écologique appliqué aux domaines skiables. Les objectifs finaux de cet audit sont la limitation des risques,  la diminution des coûts de fonctionnement et l’amélioration de l’organisation interne de l’entreprise.
  • Jean-Marc Hassid, chercheur, est intervenu sur la nouvelle directive cadre sur l’eau déclinée aux domaines skiables. Cette directive vise à harmoniser les textes sur la gestion de l’eau. Et ce, dans le but d’augmenter sa qualité (eau potable ou de baignade) dans l’union européenne. Cette application au domaine de la montagne intervient suite à l’évolution des usages de l’eau en stations. L’objectif de cette application est le maintien d’un débit minimum dans les rivières en hiver ainsi que la préservation des zones humides.
  • Gunther Suette, du service du gouvernement régional de la Styrie, est intervenu sur le monitoring de la gestion de l’eau pour la neige de culture. La gestion des données passées permet d’effectuer un suivi et de mesurer l’état de l’eau. Le but de ce monitoring est d’optimiser la production et la qualité de la neige de culture.
  • Michael Manhart a présenté le système de management environnemental de la station de Lech am Arlberg (Autriche). Ce management est global puisqu’il va de l’utilisation de panneaux solaires thermiques à la réinsertion de vaches sur les pâturages, pour entretenir les pistes en été. Lech se distingue en ayant imposé une limite de visiteurs. Au-delà de 14 000 skieurs, les forfaits ne sont plus vendus, car les impacts sur l’environnement seraient trop importants.
  • Martin Hug, a pour sa part présenté l’engagement de la station de Laax (Suisse). Il a prouvé qu’une station non certifiée pouvait être engagée dans une démarche durable. Il a particulièrement insisté sur l’importance d’une gestion optimale de l’énergie.
  • Enfin, Andreas Dorfmann a présenté le projet de liaison ferroviaire dans la vallée du Pustertal (Italie). Ce projet promet de relier toute la vallée par le train, soient les stations de Gitsberg, Kronplatz et Hochhorse. Le visiteur, acheminé en train jusqu’à la vallée, pourra prendre une télécabine depuis les gares ferroviaires pour rallier les domaines skiables. Ce projet visionnaire vise à réduire les flux de véhicules dans la vallée, pour les touristes comme pour les habitants. Faciliter les liaisons et rendre le ski plus libre, voilà les concepts développés ici !

Ces conférences ont été présentées par des intervenants impliqués concrètement dans le développement durable et venant d’horizons divers. Ils ont eu le mérite de montrer que réunir les acteurs de la montagne pour un développement plus durable est possible. Ces exemples sont loin d’être des modèles reproductibles à l’identique ailleurs et chaque station doit trouver comment combiner ses spécificités et ses opportunités. Beau challenge !

Bilan 2009-2010 en stations : une bonne fin de saison !

La saison de ski se termine en station et les derniers skieurs profitent de la neige de printemps sous le soleil. L’heure est donc au bilan pour l’hiver 2009-2010 en station.

Après un début de saison en demi-teinte, suite aux aléas climatiques de décembre et de début janvier, les stations ont su tirer leur épingle du jeu. Dans l’ensemble la fréquentation a été équivalente à la saison précédente, voire en légère hausse. Deux zones se distinguent cependant : le Jura accuse une légère baisse de fréquentation alors que les Vosges enregistrent une hausse.

La clientèle étrangère était au rendez-vous, elle constitue la moitié des visiteurs des très grands domaines skiables. Les belges ont plébiscité les Alpes du Sud et les anglais, la Haute-Savoie. Les grandes et moyennes stations s’en sortent cependant mieux que les très grandes stations (Cf. graphique).

La tendance est à la diversification, les clients ne se limitent plus au ski. Les activités de bien-être (spa, thermalisme) et celles liées à la nature (raquettes, chiens de traineaux) sont en hausse. Autre tendance : l’augmentation des réservations de dernière minute, selon les conditions d’enneigement.

Pour la deuxième année consécutive, les stations françaises s’en sortent bien face à la crise. Un léger bémol est cependant à noter : les restaurateurs affichent un ralentissement de leur activité. Les clients « rognant » sur leur budget restauration au profit des activités de loisirs.

Source : SNTF

 

Les relations publiques 2.0 : les blogs (Série « Web »- 10/10)

Ce n’est pas un secret, les relations publiques 2.0 passent par l’utilisation des blogs… et dépendent  donc de l’influence des blogueurs ! Aujourd’hui, il est très facile pour tout un chacun de créer son blog. Le plus difficile reste d’avoir un public et de jouer de son influence sur lui. C’est un jeu d’équilibre entre les marques qui aimeraient que les blogs parlent de leurs produits (en bien) et les blogueurs qui ont une certaine liberté de ton, garant de la valeur ajoutée de leur contenu.

Les blogueurs sont conscients d’être un support de pub, voire l’égérie d’une marque ! Ils parlent spontanément ou de manière sponsorisée d’un produit. Cependant ils ne veulent pas être restreints à cette utilisation et revendiquent leur liberté de ton. Dans certains cas, les blogueurs les plus influents (qui se connaissent entre eux) peuvent se liguer contre une organisation : ils en arrivent à former une communauté. C’est pourquoi il est intéressant pour une marque de les avoir dans son « camp ». Comment faire pour capter l’intérêt d’un blogueur, afin qu’il écrive un article (positif) sur son organisation ou sa destination touristique ?

Il faut éveiller sa curiosité, qu’il ait envie d’écrire quelque chose d’original, apportant de la nouveauté à ses lecteurs. La relation marque/blogueur ne doit pas rester virtuelle, des échanges téléphoniques et en face à face sont le passage obligé. Il faut créer une relation privilégiée et ne pas se limiter à un échange d’informations par le biais d’un dossier de presse…la question à se poser pour la marque est « comment je peux aider le blogueur à écrire un article intéressant ? ».

Une invitation pour la destination ou pour tester ses produits est souvent appréciée. Par petits groupes, afin d’être disponible pour les questions et les échanges. Le blogueur partagera son expérience à travers des images et ses impressions. Quelques jours en station offerts à un blogueur influent valent tout autant qu’une campagne de pub ! De même une marque de sport peut offrir un produit afin que le blogueur lui consacre un article après avoir été l’essayé en conditions réelles. Les blogueurs sont des testeurs !

Enfin sur Internet, tout est interdépendant, le blogueur n’est pas cantonné à son blog. Ses articles sont relayés par les réseaux sociaux, comme Twitter par exemple. En tout état de cause, créer une relation privilégiée avec les blogueurs influents dans votre secteur est profitable sur bien des plans.

Pour finir, voici une petite vidéo – réalisée par l’agence NoSite – qui laisse la parole aux blogueurs influents. C’est plutôt instructif !


influence-moi si tu peux !
envoyé par nosite. – L’actualité du moment en vidéo.

Offre d’emploi : Chef de produit / Chef de projet chez BikeSolutions

Nos camarades de BikeSolutions ont un poste à pourvoir. Nous leur donnons un petit coup de pouce en diffusant leur annonce :

BikeSolutions est une société Grenobloise de conseil en ingénierie touristique, spécialisée sur les domaines VTT. La société a été créée en Mai 2007. Leurs clients sont tous les responsables de territoires qui misent sur le tourisme sportif pour se développer de façon durable, ils ont une trentaine de missions à leur actif en France, essentiellement dans la région Rhône Alpes.

La société lance un nouveau type de prestation de services. Ils ont donc besoin de quelqu’un pour finaliser la mise au point, vendre et développer ces services en compagnie de l’équipe déjà en place et des clients.

Contenu de la mission :

– Développement de produits et services en lien avec les loisirs sportifs ;
– Organisation d’une démarche commerciale et suivi ;
– Prospection et fidélisation de clients ;
– Aide sur d’autres projets courants ;
– Déplacements à prévoir dans la région (une cinquantaine minimum sur l’année), ponctuellement hors région ;

Profil recherché :

Ils recherchent quelqu’un passionné par le sport et l’outdoor en général, et les problématiques liées au lancement d’un produit nouveau. La pratique et la connaissance du VTT ou du cyclisme est souhaitée, mais pas indispensable. Il sera par contre indispensable de s’y mettre un minimum, dans tous les cas.

Il faudra être organisé, autonome, avec un excellent sens du relationnel. Le type de prestation que lançée est nouveau, il faudra donc une bonne capacité d’analyse et d’écoute pour le faire évoluer rapidement, et être créatif, innovant pour s’assurer d’une amélioration continue de notre prestation. Des objectifs de chiffre d’affaires seront déterminés avec le reste de l’équipe, il s’agira d’atteindre ces objectifs.

La maîtrise de l’orthographe est exigée.
Permis B obligatoire.

Débutants acceptés

Formation souhaitée : BAC +3 à 5 dans le domaine du commerce, tourisme, sports ou loisirs.

Type de contrat

: CDD de 6 ou 12 mois, qui peut déboucher sur un CDI si l’expérience est concluante.

Date de début

: Fin Printemps/Eté 2010.

Rémunération

: à négocier, avec une part fixe et une part variable.

Contact : Envoyer CV et lettre de motivation à : 

BikeSolutions
Yannick MENNERON
155/157 Cours Berriat
380208 GRENOBLE Cedex 1
Tel : 06 63 15 36 54
@ :
yannick.menneron [@] bikesolutions.fr

 

 

 

 

Ecodesign : les tendances majeures (Série « Développement Durable » – 7/10)

Aujourd’hui, nous vous faisons partager une présentation très instructive sur l’écodesign. Mais au fait, qu’est-ce que c’est l’écodesign ?

Il vise un développement plus raisonné en connectant le design (concept alliant une intention à sa réalisation matérielle) et les enjeux du développement durable. Ce principe est intéressant, car il laisse place à l’innovation afin de développer des solutions viables et correspondants à une nouvelle façon plus humaine de voir les choses.

En écodesign, 4 grandes tendances se distinguent :

– le design sensé, où la priorité est donnée à l’intention ;

– le design économique qui consiste à faire mieux avec moins ;

– le design positif avec une optimisation de gestion des cycles ;

– et le design de système, porteur de solutions plus globales.

Les concepts abordés (l’écologie industrielle, l’économie de fonctionnalité ou encore la désintermédiation) sont autant de solutions en totale cohérence avec une vision plus durable des systèmes. Actuellement ces modèles sont en train de se développer un peu partout dans le monde, preuve de leur efficacité. L’écodesign touche toutes les sphères, que ce soit notre vie professionnelle ou personnelle et tous les secteurs d’activités. Il passe avant tout par une très bonne observation de notre environnement. Et ce, afin de détecter nos incohérences et voies de progrès.  Bonne lecture!

Présentation issue du cercle d’innovation Courts-Circuits, à l’initiative de Pourquoi tu cours, encadré par les planneurs stratégiques Jérémy Dumont et Nicolas Marronnier.

Aperçu du tourisme de montagne en hiver et de ses impacts

Vous le savez sans doute, le tourisme de montagne en France est essentiellement hivernal et estival. Les sports d’hiver sont la principale source de fréquentation et engendrent donc une modification du paysage par la construction d’infrastructures. Ce sont plus de 120 millions de personnes qui séjournent dans les Alpes chaque année ! La France compte le plus grand domaine skiable d’Europe, avec 1 618 km², contre 840 pour la Suisse, 790 pour l’Autriche et 750 pour l’Italie.

Cependant, le ski alpin est à l’origine de nombreux impacts sur l’environnement :

l’eau prélevée pour la production de neige de culture : un peu plus de la moitié de l’eau utilisée provient de retenues collinaires, 30% des cours d’eau et 10% des réseaux d’eau potable. Les additifs ont été utilisés de 1992 à 2005. Les professionnels du secteur ont désormais arrêté l’utilisation de ces produits, afin de limiter l’impact négatif sur l’environnement.

l’énergie utilisée pour les remontées mécaniques et les enneigeurs : depuis 1980, la puissance électrique totale installée a triplé comme nous l’indique le graphique ci-dessus ;

le dérangement de la faune et la destruction de la végétation : diminution de certaines populations comme celle du Tétra Lyre, qui subissent l’impact des installations jusqu’à une distance d’au moins 1500 m.  D’où la création de zones refuges afin de les protéger de toutes les perturbations possibles ;

les phénomènes d’érosion et de mouvements de terrain; le remodelage du paysage pour créer des pistes plus ou moins faciles, adaptées à la demande des clients.

En moyenne, 1,4% de l’étendue des montagnes françaises sont recouverts par un domaine skiable. Cette proportion est plus forte dans les Alpes du Nord (5,1%) et plus faible dans le Jura, les Vosges et le Massif central.

La montagne et le tourisme sont intimement liés : apports économiques et maintien d’une population permanente sont des avantages non négligeables. Le juste milieu entre préservation d’un environnement naturel et attractivité touristique est parfois difficile à trouver. Soulignons au passage le travail des associations locales, dans les vallées, ou plus larges, comme Mountain Riders, qui agissent pour une prise de conscience. « Pour que la montagne reste un plaisir »…

Crédits photos: Service technique des remontées mécaniques et des transports guidés (STRMTG) et ODIT France.

Vosges, Massif

En direct du SAM : Jour 1

Comme promis, voici nos premières impressions en photos de cette journée d’ouverture du SAM 2010.

Constat des travaux finis en arrivant ce matin par nos co-exposants… Détendez-vous les gars, ça va bien se passer !

Il paraîtrait qu’on ne voit que SWiTCH sur le stand « Made in Isère »… Merci à la main heureuse, mais pourtant bien innocente, de Julia lors du tirage au sort des emplacements.

La délégation Kirghize en visite sur notre stand, malgré les récents événements politiques.

Ce que vous ne verez pas (parce qu’on ne pouvait quand même pas passer tout notre temps à faire des clichés !), mais qui aurait pourtant vallut le coup d’être photographié :
– Le déjeuner en compagnie de Bastien « Magic » Perret :
– La rencontre avec Laurent Vanat, Yannick Menneron et moi-même ;
– La plus sympa des représentantes de la « World Cie » se délectant des macarons au chocolat et à la pomme verte « homemade by myself », à l’heure du goûter ;
– Le passage de Gregoire Dieu, futur chef d’entreprise dans lequel nous plaçons beaucoup d’espoir. Dommage que Gwen n’ait pas pu venir… Next time !
– La visite de Laurent, un bloggeur lecteur de notre blog (on est drôlement flatté !) ;
– L’apéritif n°1 avec Julie Pomagalski, Antoine Deneriaz et Stewart Sheppard (de Mountain Riders) sur le stand d’Annecy 2018 ;
– L’apéritif n°2 avec Aymerick Bonnot, M. Tardy et Francis Fiesinger (CCI de Grenoble) ;
– La bonne vingtaine de personnes qui se sont arrêtés sur notre stand uniquement parce qu’on avait des meubles en carton et qu’ils trouvaient ça chouette… Merci, c’était sympa de faire votre connaissance !

Aller, on remet ça demain.

Puma ou comment transformer une boite en sac

Il y a des bonnes idées qui font plaisir ! L’équipementier sportif Puma a fait appel à Yves Béhar pour travailler sur une boîte à chaussure pratique et surtout réutilisable. Après des mois de recherche, le résultat est déconcertant de simplicité et d’évidence. Une petite vidéo bien ficelée a même été réalisée pour comprendre les tenants et les aboutissants du projet :

En direct du SAM 2010 : J -1

On vous en parle depuis un moment, ce n’est donc pas vous laisser en plan alors que LE salon des professionnels de la montagne est sur le point d’ouvrir ses portes. Après l’histoire de la brochure, nous avons décidé de partager en direct avec vous nos « brèves » du SAM 2010 !

Aujourd’hui, c’était le « montage ». On a découvert nos nouveaux meubles en carton. Et oui, c’est le salon de l’aménagement DURABLE en montagne et les membres de Made in Isère ont décidé de jouer le concept à fond. En plus, ça se monte exactement comme les meubles d’un certain géant suédois : on tape un bon coup dessus et ça tient… ou pas !

L’ambiance est particulière. Les standistes s’agitent dans tous les sens, on court après les branchements électriques, pendant que d’autres déchargent des camions ou posent de la moquette. Tout le monde observe le stand de ses concurrents et y va de son petit commentaire : « Sympa les stands en bois de l’espace VTT » (h.o.5. Park); « Rhôoo, ils ont apporté en avant-première la cabine du futur téléphérique de New-York ! » (entendu sur le stand de POMA) ; « T’as vu, l’armée a exposé un char d’assaut. Mais, au fait, pourquoi est-ce que les militaires sont ici ? » ; « C’est dingue, ils vont produire de la neige de culture alors qu’il fait 20°C et que tout le monde est en tongues… » (entendu sur le stand de Snowstar) ; « Bon, puisqu’il y a des jacuzzis sur les stands « Spa & bien être », j’apporte mon maillot de bain demain » (entendu au niveau du Grand Spa des Alpes) ; « Boooh, nos concurrents nous ont copié : ils ont pris la même charte graphique, le même mobilier et les mêmes accessoires » (Pas la peine d’insister, on ne dira pas qui a balancé ça !)


Au programme pour demain : nos premières impressions de la journée d’ouverture et un rapide compte-rendu de la conférence de l’OITAF.

Le casque de ski de plus en plus plébiscité

Coloré, sobre, High-tech avec les écouteurs intégrés ou basique, le casque de ski se décline sous toutes ses formes. Son port est obligatoire chez tous les enfants dans les écoles de ski en France. Il est de plus en plus porté par les adultes sur les pistes, surtout à l’étranger. Et c’est une bonne tendance, car il divise par 2 le risque de lésion grave à la tête en cas d’accident.

 Une étude réalisée aux États-Unis par Leisure Trends Group indique que 51% des interrogés portent un casque. La principale raison est la sécurité apportée en cas de choc (48%). Les autres raisons évoquées sont de montrer le bon exemple (19%) et le fait que le casque tienne chaud (19%).

Ceux qui ne veulent pas porter de casque indiquent que c’est à cause du manque de confort ou de praticité, voire du prix élevé. Enfin 76% des interrogés pensent que le port du casque devrait être obligatoire pour les enfants. Et seulement 51% le rendraient obligatoire pour les adultes.

A titre d’information, en Italie le port du casque est désormais obligatoire pour tous. En Autriche, dans le Vorarlberg, il existe des patrouilles chargées d’infliger des amendes en cas de non port du casque pour les enfants. Est-ce la bonne méthode ? En tout état de cause, une prise de conscience est en court et c’est déjà ça…

Crédits photo: Salomon