Les bons plans de SWiTCH

Pourquoi multiplier les comptes sur les médias sociaux ? (Série « Web » – 5/10)

La plupart des grandes organisations ont déjà investit les réseaux sociaux, à l’inverse des structures plus petites qui n’osent s’y aventurer. Twitter, Facebook, Youtube et les blogs sont communément utilisés, mais chacun dans un but différent. Pour autant, la plupart de ces organisations ne se limitent pas à un seul compte par média social. À savoir que la moyenne* par entreprise pour Twitter est de 4,2 comptes ; de 2,1 pages Fan pour Facebook ; de 1,6 chaînes pour Youtube et de 4,2 blogs. En moyenne 20 % d’entres elles utilisent les 4 outils pour communiquer.

Mais alors qu’est-ce qui fait l’efficacité de la stratégie de communication de ces marques sur les médias sociaux ?

Chaque compte a un but précis : service clients, ressources humaines, actualité de l’entreprise ou encore antenne régionale. Ceci afin d’éviter une trop grande confusion des informations transmises par chaque compte. Alors que Facebook invite à l’interaction entre l’organisation et le client, Youtube maintient le lien à travers du divertissement sans forcément attendre une participation active du visiteur. Les blogs, eux, sont désormais plus populaires en Europe et en Asie Pacifique qu’aux États-Unis.

Quelques clés pour une présence intelligente sur ces outils …

  • Faire un état des lieux régulier : chercher ce qu’on trouve sur sa propre organisation et ce que les gens en disent. Réaliser la même recherche sur les concurrents.
  • Surveiller ce qui est réalisé par les employés sur le web, afin que cela reste cohérent avec l’image et la culture de l’organisation.
  • Rester préparé à toutes les éventualités ! Sur le web tout va très vite, 24h pour réagir c’est beaucoup trop long !

Enfin, la présence sur les médias sociaux est une course de fonds. Même si c’est un outil marketing à part entière, on ne parle pas de « campagne » qui par définition a une durée déterminée. Le plus dur est de créer du contenu à valeur ajoutée de façon régulière et constante. N’oublions pas que les médias sociaux sont une occasion en or pour fidéliser les clients.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter l’étude Global Social Media Check-up de Burson-Marsteller ci-dessous :

* étude réalisée sur les 100 plus grosses entreprises du Fortune Global 500

Des remontées mécaniques qui fonctionnent aux énergies « vertes » (Série « Développement durable » – 5/10)

Récemment 10 stations de ski françaises ont réalisé leur bilan carbone. Un premier pas pour analyser les sources majeures d’émissions de gaz à effet de serre. Sans surprise, le premier pôle d’émissions est le transport, un thème déjà abordé précédemment. Les sociétés de remontées mécaniques quand à elles, ne sont à l’origine que de 2% des émissions. Ce n’est cependant pas une raison pour s’en laver les mains et certaines sociétés l’ont bien compris.

Vous pensez que faire fonctionner une remontée au solaire ou à l’éolien c’est utopique ? Certains l’ont pourtant déjà fait…

Dans la station de Wilder Kaiser-Brixenta dans le Tyrol autrichien, un téléski fonctionnant entièrement à l’énergie solaire a été construit fin 2008. L’installation de panneaux photovoltaïques sur une surface de 105m² fournit 12.000 KW par hiver.

Direction le Canada pour une autre initiative renouvelable : à Grouse Mountain, près de Vancouver, une éolienne géante vient d’être inaugurée. Non seulement elle fournira 25% de l’énergie nécessaire aux remontées mécaniques du site mais elle dispose aussi d’une plateforme panoramique à 64 m de haut  accessible aux touristes.

Plus proche de nous et à moindre échelle, Vallorcine a adopté le téléski « écologique » pour les 3-5 ans : les parents pédalent pour que leurs bambins puissent remonter les 20 m de pente douce du fil à neige. « Tout a été créé à partir d’un vélo monté à l’envers. La roue arrière est fixée sur la plateforme de départ et la roue avant, c’est la poulie de retour » explique Paolo Bouissa, le directeur de l’ESF.

Certes, cela peut sembler être des gouttes d’eau dans l’océan, cependant ces projets novateurs montrent qu’un autre développement est possible avec des entrepreneurs qui ne manquent pas d’énergie !

Crédits photo : sigma composite et Dauphiné Libéré

EasyJet dévoile le top ten des destinations de ski de ses clients

Récemment la compagnie aérienne easyJet a dévoilé ses statistiques concernant les destinations privilégiées des skieurs pour cet hiver. Et cocorico, puisque 50% de ses clients anglais privilégient une destination française ! Les vols easyJet au départ de 13 aéroports au Royaume-Uni acheminent le reste des touristes vers l’Autriche ou l’Andorre. Le top ten des destinations de ski est donc le suivant : 

1. Chamonix, France 

2. Avoriaz, France 

3. Meribel, France 

4. Les Arcs 1800, France 

5. Pas de la Casa, Andorre 

6. Val d’Isère, France 

7. Kitzbühel, Autriche 

8. Innsbruck, Autriche 

9. Söll, Autriche 

10. Arinsal, Andorre 

Les clients recherchent autre chose que le traditionnel séjour du « samedi au samedi » et ils se laissent séduire par les séjours en semaine et leurs petits prix. 

Le point commun entre ces stations ? Leur aéroport tout proche et les facilités de transfert. Chamonix et Avoriaz sont proches de Genève, de même Kitzbühel et Söll sont proches d’Innsbruck. Les voyageurs privilégient la facilité d’accès : les transferts aéroport-station réguliers, courts et bons marchés ont la côte ! 

L’Andorre, pourtant à 3h de Barcelone, tire son épingle du jeu. Le Pas de la Case et Arinsal sont réputées pour leur ambiance  « après-ski », plébiscitée par les britanniques. Par ailleurs, certains investissements récents dans les remontées mécaniques apportent confort et modernité aux skieurs. 

Une autre raison expliquant la côte de ces destinations tient dans la nouvelle offre d’easyJet. Au départ de 13 aéroports en Europe, elle achemine les skieurs vers 9 destinations dans 6 pays, notamment ceux de l’Est. Depuis cette année, la compagnie aérienne a ouvert un site web dédié appelé easyJet Ski en partenariat avec B2Bski.com permettant de réserver son séjour à la montagne au moindre coût. Des petits prix, un accès facile, une réservation rapide, des packs tout compris…easyJet aurait-elle trouvée la recette gagnante pour garder sa clientèle de skieurs anglophones malgré la crise ? 

Crédits photo: easyJet

Le choix des médias sociaux en fonction de l’âge des utilisateurs

Deux études récentes, la première aux Etats-Unis et la seconde en France, mettent en évidence la relation entre les médias sociaux et l’âge moyen des membres. Sans surprise, on retrouve une large présence des 35-44 ans, alors que très peu de plus de 65 ans sont inscrits.

Il apparaît qu’on ne fréquente pas n’importe quel média social à n’importe quel âge. Les 0-17 ans se retrouvent sur Bebo ou Myspace, alors que les 18-24 ans plébiscitent davantage Xanga ou Twitter. Cependant, même s’ils sont souvent plus au fait des nouvelles technologies, ce ne sont pas les plus actifs sur ce type d’outil.

Les trentenaires sont les plus présents sur les médias sociaux. Le large panel des réseaux attire tous les profils, que ce soit pour des raisons professionnelles ou personnelles. Pour un intérêt professionnel par exemple, LinkedIN réunit les 35-54 ans. Côté vie personnelle, FriendFeed et Delicious sont largement plébiscités.

Facebook attire toutes les catégories d’âge en France, mais plus particulièrement les 35-54 aux Etats-Unis.

Au final, C’est une donnée non négligeable pour n’importe quelle organisation désirant développer sa présence sur le web. Le pays ciblé, le dialogue tenu et le choix du réseau sont des facteurs à prendre en compte en fonction de la clientèle visée. La présence sur un réseau social n’a rien d’un hasard, c’est une réelle stratégie à développer. Et une fois votre organisation inscrite sur une plateforme, le plus dur reste à accomplir : la faire vivre !

Azimut : Cap vers l’innovation responsable

Avant de partir en week-end – et oui, ça nous arrive aussi de temps en temps ! 😉 – nous voulions souhaiter bon vent à nos copains d’Azimut : Benjamin Marias et David Vulliez.

Passionnés de sport et de grand air, David et Benjamin ont décidé de transformer leur terrain de jeu en outil de travail et d’expérimentation. Depuis 15 jours, ils ont créé leur agence conseil en innovation responsable pour les entreprises et collectivités dans les secteurs des sports & loisirs. Leur champ d’intervention porte sur les métiers de la stratégie, de l’éco-conception, de l’ergonomie de produit et de la R&D en proposant des solutions concrètes sur le plan environnemental et économique. Avec un aplomb sans faille et une maîtrise totale de leur secteur, c’est sûr, ce duo de choc va faire des étincelles !

Fiche technique AZIMUT :

Caractère innovant :
– Interaction et transversalité des compétences
– Intégration de l’environnement dans les approches de gestion de l’innovation
– Evaluation rapide du contexte et esquisse de solutions

Fonctionnalité
:
– Adaptation de l’offre aux besoins des clients par des «services à la carte »
– Management participatif entre les parties prenantes du projet

Qualité de service :
– Adoption d’une ligne de conduite assurant transparence et confidentialité
– Objectivité décisionnelle, rigueur méthodologique et indépendance idéologique

Azimut est lauréat du programme Annecy Initiative et du concours Envie d’Agir.

Tous les blogs du monde en une image

En farfouillant sur le web hier (Merci Intac !), nous sommes tombé sur une image qui résume parfaitement à elle seule la « blogosphère » mondiale. Quels sont les profils des bloggeurs ? De quoi parlent-il ? A quelle fréquence ? Combien de temps est-ce qu’ils y passent ? et surtout pourquoi bloggent-ils ? Autant de questions qui trouvent leurs réponses en un seul coup d’oeil…

Il est temps de prendre le virage des médias sociaux ! (Série « Web » – 4/10)

Publiée dernièrement, une petite étude a été menée aux États-Unis, au Canada et en Grande-Bretagne sur l’utilisation des médias sociaux. Pour les organisations encore réticentes dans leur processus de communication à l’utilisation de ces nouveaux outils parfois jugés comme superficiels, voilà qui vous fera peut-être changer d’avis !

L’étude montre qu’il est désormais rentré dans les habitudes des jeunes (18-25 ans) de chercher leur information d’abord sur les sites communautaires afin d’obtenir un avis d’utilisateur et ce, avant de consulter le site officiel de la marque (19% de leur temps passé sur Internet l’est sur des réseaux sociaux) ou une publicité.

Facebook est le plus utilisé des médias sociaux, il est le principal lieu de partage d’informations avec l’entourage : amis, famille, amis d’amis. Sachant qu’un jeune a en moyenne 224 amis sur Facebook, l’information diffusée, qu’elle soit bonne ou mauvaise, l’est très rapidement et à grande échelle !

Cette génération marque une nette préférence pour l’utilisation de Facebook et de son service de courriel pour communiquer plutôt que les services de messagerie traditionnels. Ils sont deux tiers des membres à utiliser Facebook pour l’organisation d’événements. Cette utilisation est cependant plus faible chez les personnes de plus de 35 ans, pour qui le courriel est reste le principal outil.

À l’heure actuelle, où nos boîtes mails sont encombrées par des spams en tous genres, Facebook est un outil avec lequel l’utilisateur a la possibilité de choisir quelles informations il désire recevoir ou non. Les consommateurs ont toujours parlé des entreprises, de leurs produits et de leurs services, ce n’est pas un phénomène nouveau. Mais la nouveauté est d’avoir un outil qui facilite grandement le partage et qui offre la parole à tous (pour le meilleur mais aussi pour le pire !).

Alors à votre tour de rentrer dans le monde des médias sociaux pour communiquer avec vos clients !