Les bons plans de SWiTCH

[Booklub] How Does It Make You Feel ? Why Emotion Wins The Battle of Brands – Daryl Travis

En tant que consultant et chef d’entreprise, Daryl Travis révèle dans son livre How Does It Make You Feel ? Why Emotion Wins The Battle of Brands l’importance des émotions dans la relation qu’entretient une marque avec ses clients. En s’appuyant sur des études psychologiques, il montre comment les émotions interviennent dans la décision d’achat des consommateurs et leurs questionnements : « est-ce que cet objet me rend plus heureux / plus beau / plus cool…? ». Selon l’auteur, la clé du succès d’une entreprise réside en effet dans la capacité des produits ou services à jouer un rôle dans la vie des individus. Résumé.

Qu’est-ce qui nous fait nous sentir bien dans notre travail ? – Dan Ariely

Pourquoi nous levons-nous tous les matins pour aller au travail ? Qu’est-ce qui nous motive dans cette activité ? La perspective d’un gain financier est-elle notre seule motivation ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire, l’argent est loin d’être notre seul moteur. Le sentiment de progrès, d’épanouissement et de réalisation de ses objectifs personnels semble plus fort encore que l’argent.

L’économiste comportemental Dan Ariely présente dans cette conférence TEDxRiodelaPlata (filmée en octobre 2012 – Sous-titre : Français) à deux expériences qui révèlent nos attitudes inattendues face au sens que nous donnons à notre travail.

Comment communiquer sur les média sociaux quand on est une association à but non lucratif ?

Les associations à but non lucratif poursuivent des objectifs différents des marques commerciales. Pour autant, elles n’ont pas moins besoin de communiquer auprès du grand public, des institutionnels, des entreprises, etc. Les logiques sont donc différentes, mais les outils restent les mêmes à conditions d’adapter les techniques. L’usage des média sociaux ne font pas exception. L’infographie ci-dessous précise comment les organisations non gouvernementales peuvent améliorer leur stratégie digitale de contenu.

Facebook et la baisse du « reach », que faire ?

Depuis que Facebook a fait baisser la portée de leur page, les marques sont inquiètes pour le devenir de leur visibilité sur le réseau social. Régulièrement, les agences de communication font face à la question logique de leurs clients : « que devons nous faire pour Facebook ? ». Afin de dépasser l’image de Facebook montrée comme une entreprise cupide, cherchant à faire payer les marques pour assurer leur visibilité, Brad Blake et Noah King, spécialistes en stratégie sur les médias sociaux au sein de l’agence Hill Hollidays de Boston, ont réalisé une étude pour essayer de comprendre le réel impact des changements opérés par Facebook. Cette étude est basée sur des données récoltées entre octobre 2013 et avril 2014 sur les pages de quinze marques appartenant à des domaines différents et ont analysé plus de 6600 posts Facebook. Résumé.

Le constat est bien là : la portée organique a diminué pour la plupart des marques.

Cependant, dans le même temps, le taux d’engagement et le taux d’impressions virales ont augmenté pour ces marques.

 

En réalité, Facebook montre donc le contenu des marques à un plus petit nombre de personnes, mais un pourcentage plus important des personnes atteintes est intéressé par le contenu. Grâce à son nouvel algorithme, Facebook tend vers un meilleur ciblage du public. Pour les marques, la communication est donc plus qualitative et pour l’utilisateur du réseau social, l’expérience est plus enrichissante.

Il faut donc apprendre à travailler avec cet algorithme plutôt que d’essayer d’aller à son encontre en se focalisant sur la quantité de personnes touchées. Dans un premier temps la stratégie des marques a été de conquérir un maximum de fans pour avoir le plus d’ampleur possible. Cependant, avec cette nouvelle donne de Facebook, il est désormais plus intéressant d’accroitre la qualité des fans plutôt que la quantité et d’orienter le contenu mis en ligne en fonction des intérêts des fans. Créer des groupes par intérêt peut être une bonne option. Il faut en effet se rendre à l’évidence, comme le disent très justement les deux auteurs de l’étude, « les seules personnes qui s’intéressent à tout ce qu’une marque a à dire, sont les personnes qui travaillent au département marketing de cette marque » !

Amplifier par des posts sponsorisés le contenu qui a déjà fait ses preuves auprès des fans s’avère donc bien plus efficace pour toucher sa communauté que de chercher à augmenter le nombre de fans. Il vaut mieux se concentrer sur le taux d’engagement et la quantité suivra la qualité. Cela nécessite cependant de passer plus de temps à analyser les réactions de la communauté au contenu que l’on publie.

Plutôt que de blâmer Facebook pour les changements qu’elle opère sur les pages des marques, mieux vaut tirer le maximum de l’algorithme tel qu’il est aujourd’hui et d’en profiter pour tisser une relation de qualité avec sa communauté.

10 mythes à propos des utilisateurs de YouTube

Cette infographie, issue d’une étude de l’institut IPSOS au Royaume Uni, va à l’encontre de la plupart des idées reçues sur la célèbre plateforme de partage de contenus vidéo qu’est YouTube. Le mythe d’une plateforme réservée à un public adolescent en quête de gratuité s’effondre avec cette enquête qui montre qui sont réellement les utilisateurs de YouTube : un public adulte, qui accepte de payer pour accéder à du contenu musical, culturel ou à des jeux vidéos, qui a tendance à partager le contenu vu sur YouTube et qui est attentif aux publicités, puisque 41% cliquent sur le call to action proposé. Une cible réactive, à conquérir par les marques ?