Savoir quels types de contenu poster sur les réseaux sociaux pour faire sa promotion et tisser une relation de confiance avec sa clientèle et ses prospects lorsqu’on est un magasin détaillant n’est pas toujours évident. L’infographie ci-dessous devrait vous aider à comprendre la répartition idéale à adopter pour mettre en avant votre commerce sans pour autant noyer vos fans sous un flot de publicités.
Pas de nouveau poste à pourvoir chez SWiTCH aujourd’hui, mais chez l’un de nos partenaire institutionnel, le Cluster Montagne. Nous vous souhaitons tout le meilleur si vous souhaitez être candidat.
Cette association est née en 2012 de la fusion du Cluster CIM et de FNI. Son but est d’accompagner et promouvoir, en France et dans le monde, les acteurs français de l’aménagement en montagne. Le Cluster compte près de 100 adhérents en France. Ses principales missions sont de :
fédérer les acteurs de l’aménagement et de l’équipement de la montagne française
participer au développement des sites touristiques de montagne en soutenant l’innovation, la performance et les compétences
positionner les savoir-faire montagne français à l’international
Ses services s’articulent autour de 3 pôles :
Innovation : mise en réseau, projets collaboratifs, aides au financement, formation, etc.
International : conseil, accueils de décideurs, missions d’expertise, évènements, etc.
Information : veille, prospective, annuaire des savoir-faire, observatoire de la filière, etc.
Poste & mission :
Au sein d’une équipe de 8 collaborateurs, le responsable Veille Communication :
rassemble les informations dans le domaine de l’aménagement de la montagne au sein d’un Centre de Ressources
analyse, traite et diffuse les informations aux adhérents
développe une analyse prospective par marchés et thématiques au sein de l’observatoire de la filière
participe au déploiement de la politique de communication interne/externe de l’association : création de supports, rédaction d’articles…
gère la mise à jour des outils de communication : site internet, réseaux sociaux, plaquettes…
gère les relations presse
Profil :
De formation supérieure type Master 2 en communication / gestion de l’information
Connaissances en intelligence économique / veille
Compétences en communication : création de supports, plan média, rédaction de communiqués de presse et articles…
Excellentes qualités rédactionnelles
Maîtrise des outils de création graphique (suite Adobe Creative : Indesign, Illustrator, Photoshop)
Maîtrise du CMS WordPress
Parfaite maîtrise de l’anglais – 2ème langue étrangère appréciée
Bon relationnel, adaptabilité, sens de l’organisation, rigueur
La connaissance de la filière montagne est un plus.
Le 14 février prochain, les Saisies organiseront le jeu « A la poursuite du diamant ». Cet événément fait parti des trois chasses au trésor organisées cet hiver par la station savoyarde. Énigmes et géocaching seront au programme pour une vaste enquête menant à la pierre précieuse d’une valeur de 600€. De plus en plus de stations de montagne mettent en place ce type de animation pour proposer à leurs clients une expérience nouvelle sur leurs domaines skiables.
Qu’est-ce que le géocaching ? Apparu après l’accès du grand public à la technologie GPS en 2000, ce loisir apparenté à la chasse aux trésors consiste à rechercher et retrouver une boite-trésor appelée géocache. Pour ce faire, le joueur note les coordonnées GPS de la géocache de son choix (publiées par d’autres joueurs sur des sites Internet spécialisés) et utilise son appareil de recherche pour progresser jusqu’au trésor.
Une fois le fameux trésor trouvé, le joueur doit laisser à son tour un objet d’une valeur équivalente. Vous l’aurez compris, ce n’est pas le bibelot faisant souvent office de trésor mais bien l’adrénaline de la découverte et la passion pour l’exploration d’un lieu inconnu qui font la force de cette discipline !
Devenu un phénomène mondial grâce à la démocratisation du GPS portable, on compte près de 2 millions de caches pour 5 millions de pratiquants à ce jour.
Le géocaching comme outil pour les professionnels du tourisme
Comme les Saisies, d’autres stations de ski ont adapté et fait du système géocaching un outil de communication mais également de fédération auprès des touristes et habitants de leur vallée.
C’est le cas de La Plagne, qui a mis en place l’hiver dernier des parcours ludiques à découvrir à ski comme à pieds. Après avoir choisi un des 3 parcours au choix, le participant choisit une balise sur le GPS qui lui a été fourni et part à sa recherche sur les 225kms de pistes et sentiers du domaine. Selon l’activité choisie y figurent un système de cases à poinçonner, à mesure que les balises sont repérées, ou la liste des énigmes à résoudre.
En version estivale, la Tania a également mis en place un système basé sur le géocaching, avant tout destiné à un public jeune. Les participants doivent retrouver des trésors cachés sur les sentiers de randonnée.
Le géocaching est donc un moyen idéal pour communiquer de façon originale et ludique autour des lieux remarquables et autres curiosités d’une vallée. Ce loisir se positionne du même coup comme un outil fédérateur, permettant aux participants d’avoir une relation/sentiment de proximité avec la station et d’en découvrir les facettes insoupçonnables.
Fondé en 2009 par les deux journalistes touristiques anglais Daniel Elkan (The Guardian, Daily Mail etc.) et Mark Hodson (The Sunday Times), Snowcarbon.co.uk est un site Internet indépendant dont l’objectif est d’aider les skieurs et snowboarders anglais à rejoindre les stations de ski européennes en train.
L’idée est née à Sauze d’Oulx, après que Daniel Elkan se soit demandé – à la vue d’une voie ferrée – si un transport en train était possible depuis Londres. L’objectif du site est donc double. Les journalistes souhaitent mettre à disposition de l’internaute une vaste base de données concernant les stations de ski, les possibilités d’accès par train et les bons plans de réservation. Parallèlement, la mobilité douce est largement promue. Le transport par train est mis en avant afin d’inciter les touristes à réduire leur impact carbone lors de leurs déplacements.
Plusieurs rubriques sont ainsi mises à disposition des internautes. La première, « Resorts and Journey Planner », permet d’accéder à la liste des stations de ski référencées. Il y en a actuellement 32, réparties dans 5 pays de l’arc alpin. Une fois sa station sélectionnée, l’internaute a accès à toutes les informations nécessaires concernant les horaires de train et de bus ainsi que les tarifs. Grâce à des partenariats avec Eurostar et Rail Europe, Snowcarbon.co.uk touche une commission sur les réservations faites sur les sites des réseaux ferrés à partir de son site. Des informations complètes sont également données sur le domaine skiable, les activités d’après-ski, les hébergements, etc.
D’autres rubriques offrent une sélection de packages train + hébergement, en partenariat avec des tours opérateurs anglais tels que Zenith Holidays, ou encore des informations sur les types de train existants et leur réseau (Eurostar, Corail etc.). Une page du site détaille aussi les bénéfices d’un transport effectué par train. Pour cause, hormis certains aspects comme l’ambiance de transport « family-friendly », la diversité de paysages, l’absence de coûts de bagages ou autres, le transport ferroviaire permet surtout de réduire de 70 à 90% les émissions carbones dues à un voyage classique au ski. Enfin, un espace est dédié aux utilisateurs du service pour qu’ils témoignent de leur expérience.
Snowcarbon.co.uk constitue donc une alternative de choix pour les touristes anglais désireux de vacances au ski à moindre coût tout en effectuant ce qu’on peut considérer comme un geste citoyen, à savoir contribuer à la réduction des émissions de CO2 liées aux transports.
La forte croissance du nombre de medias sociaux ces dernières années a souvent poussé les marques à multiplier leur présence sur ceux-ci. Le terme « communauté » s’est rapidement généralisé pour caractériser les membres en interaction. Dans ce cadre-là, on constate de plus en plus que les marques ont tendance à négliger les principes de base de la communauté, à savoir que l’internaute est central. Pour cause, il est lui-même à l’origine des interactions et surtout générateur de contenu. Il est donc indispensable pour les marques souhaitant fédérer une communauté de baser leur stratégie sur les bénéfices potentiels pour l’internaute à rejoindre cette communauté. Etude de cas : Salomon.
Salomon et son application Powfinder La marque de ski a lancé depuis quelques temps son application dédiée aux conditions d’enneigement. Celle-ci se démarque des nombreuses autres applis dédiées au même sujet grâce à l’aspect communautaire mis en place. Téléchargeable sur l’Appstore ou sur Google Play, cette interface permet avant toute chose à l’utilisateur de connaître avec précision les conditions météorologiques et d’enneigement dans la station de son choix grâce aux données fournies par le réseau Wepowder et aux alertes neige notifiées sur mobile. Parallèlement, il est possible de se connecter via son compte Facebook pour rejoindre la communauté de skieurs.
Le partage de photos via un smartphone et l’ajout d’informations de dernière minute sur la hauteur et la qualité de neige, le vent ou encore le traçage donnent lieu à un échange entre les utilisateurs de façon continue, enrichi par la possibilité de commenter chaque « snow report ». Il est également possible de partager ces informations sur Facebook ou Twitter afin d’élargir le mise en commun de données.
Salomon profite par ailleurs de cette plateforme communautaire pour insérer des onglets donnant un accès rapide à sa web TV ou à ses fiches produits en ligne. Le bénéfice est donc double pour la marque. Tout en donnant accès en temps réel à l’information à des passionnés et en leur permettant de devenir développeurs de leur propre communauté, Salomon a su à valoriser son image de marque ainsi que ses produits par la viralité des nouvelles technologies de l’information.
Mutation. Voici le mot clé qui caractérise le mieux le changement de comportement d’achat des consommateurs depuis l’apparition des dernières technologies. S’adapter à la progression rapide du e-commerce (+20% en 2012 du CA total en France par rapport à 2011 – Source : FEVAD) est un enjeu majeur pour les marques face au phénomène de « showrooming » naissant. L’utilisation des smartphones et de l’Internet sur tablette permet maintenant au consommateur une comparaison rapide des offres et une possibilité d’achat en ligne grâce à de multiples applications telles que le scan de code barre, transformant les points de vente physiques en zones d’exposition. Il devient donc clé pour les marques de s’adapter efficacement à cette nouvelle tendance et de mettre le digital au service de la vente en magasin.
Géolocalisation au sein même du magasin, fiches-produits accessibles via mobile ou encore réalité augmentée font partie des nombreux outils à disposition des marques pour faire vivre une expérience marquante au consommateur et valoriser les points de vente traditionnels.
Dans ce cadre, certaines marques de sport telles qu’Adidas ont mis en place un véritable retailing 2.0. Face à l’augmentation des ventes sur Internet, la marque aux trois bandes a parallèlement su valoriser de manière efficace une boutique dédiée à sa gamme NEO grâce aux technologies digitales.
L’opération consiste en une vitrine numérique avec laquelle le consommateur peut interagir via son smartphone. Particularité : aucun téléchargement d’application n’est nécessaire ! Pour se connecter à la vitrine, le « shopper » doit donc se connecter à une adresse URL (ou scanner un QR code) puis rentrer le code pin indiqué. Une fois connecté, l’utilisateur peut manipuler le mannequin virtuel, lui faire essayer les vêtements de son choix et surtout placer ces derniers dans un panier virtuel directement lié au mobile. Il aura par la suite la possibilité d’acheter via m-commerce et partager son expérience sur les réseaux sociaux. Novateur n’est-ce pas ?
Faire vérifier et certifier votre page sur les réseaux sociaux reste un moyen sûr de faire rayonner votre image de marque de façon officielle et ainsi de minimiser certains risques liés à l’identité en ligne. Cela peut également attester d’une certaine qualité et crédibilité de votre contenu. La certification se caractérise de façon générale par un logo positionné près du nom de page. Voici quelques explications sur les réseaux sociaux les plus connus proposant un tel système.
Twitter
Certainement le procédé le plus flou des trois réseaux ci-dessus, la certification Twitter reste concentrée sur des personnalités et utilisateurs reconnus du grand public. Certains critères comme le nombre de followers n’entrent pas en compte selon Twitter. De fait, il n’existe pas de démarche à proprement parler. Twitter se charge de contacter les titulaires des comptes éligibles afin d’en vérifier l’authenticité et attribue à sa guise le fameux logo bleu. Vous pouvez toujours tenter de contacter l’entreprise pour lui soumettre votre demande mais un mot d’ordre semble s’imposer : la patience !
Google + Google propose depuis 2011 une vérification des pages, notamment auprès des entreprises et organisations. Plusieurs pré-requis sont nécessaires avant de soumettre votre demande :
Un lien vers le site web de votre organisation doit être placé sur la page en question ;
Votre site web doit être lié à Google+ par un badge ou un code placé dans la racine ;
Votre page doit avoir un certain nombre d’abonnés avant de pouvoir accéder à la procédure.
Vous êtes au point ? Passez donc à la dernière phase et remplissez le formulaire de demande de Google+ !
Pinterest Depuis octobre 2012, il est possible pour tout utilisateur de Pinterest de certifier son compte via la vérification de son site Internet. La démarche est simple : il suffit d’intégrer un fichier HTML de validation à votre site web pour une certification quasi instantanée de votre compte Pinterest. Pour obtenir ce fichier :
Une fois connecté à votre compte, cliquez sur « Paramètres » ;
Cliquez ensuite sur « Verify Website », à côté de l’adresse de votre site Internet ;
Votre fichier HTML personnel à télécharger apparaît. Vous n’avez plus qu’à l’enregistrer et le placer dans la racine de votre site web ;
Sélectionnez « Click here » pour terminer le processus. Le logo de validation apparaît alors sur votre profil.
A noter qu’il existe une alternative, à savoir la validation par meta tag. A vous de jouer !