Articles

La règle du 70/20/10 sur Facebook à l’usage des magasins détaillants (en une image)

Savoir quels types de contenu poster sur les réseaux sociaux pour faire sa promotion et tisser une relation de confiance avec sa clientèle et ses prospects lorsqu’on est un magasin détaillant n’est pas toujours évident. L’infographie ci-dessous devrait vous aider à comprendre la répartition idéale à adopter pour mettre en avant votre commerce sans pour autant noyer vos fans sous un flot de publicités.

Le géocaching gagne les stations de ski !

Le 14 février prochain, les Saisies organiseront le jeu « A la poursuite du diamant ». Cet événément fait parti des trois chasses au trésor organisées cet hiver par la station savoyarde. Énigmes et géocaching seront au programme pour une vaste enquête menant à la pierre précieuse d’une valeur de 600€. De plus en plus de stations de montagne mettent en place ce type de animation pour proposer à leurs clients une expérience nouvelle sur leurs domaines skiables.

Qu’est-ce que le géocaching ?
Apparu après l’accès du grand public à la technologie GPS en 2000, ce loisir apparenté à la chasse aux trésors consiste à rechercher et retrouver une boite-trésor appelée géocache. Pour ce faire, le joueur note les coordonnées GPS de la géocache de son choix (publiées par d’autres joueurs sur des sites Internet spécialisés) et utilise son appareil de recherche pour progresser jusqu’au trésor.

Une fois le fameux trésor trouvé, le joueur doit laisser à son tour un objet d’une valeur équivalente. Vous l’aurez compris, ce n’est pas le bibelot faisant souvent office de trésor mais bien l’adrénaline de la découverte et la passion pour l’exploration d’un lieu inconnu qui font la force de cette discipline !

Devenu un phénomène mondial grâce à la démocratisation du GPS portable, on compte près de 2 millions de caches pour 5 millions de pratiquants à ce jour.


Le géocaching comme outil pour les professionnels du tourisme

Comme les Saisies, d’autres stations de ski ont adapté et fait du système géocaching un outil de communication mais également de fédération auprès des touristes et habitants de leur vallée.

C’est le cas de La Plagne, qui a mis en place l’hiver dernier des parcours ludiques à découvrir à ski comme à pieds. Après avoir choisi un des 3 parcours au choix, le participant choisit une balise sur le GPS qui lui a été fourni et part à sa recherche sur les 225kms de pistes et sentiers du domaine. Selon l’activité choisie y figurent un système de cases à poinçonner, à mesure que les balises sont repérées, ou la liste des énigmes à résoudre.

En version estivale, la Tania a également mis en place un système basé sur le géocaching, avant tout destiné à un public jeune. Les participants doivent retrouver des trésors cachés sur les sentiers de randonnée.

Le géocaching est donc un moyen idéal pour communiquer de façon originale et ludique autour des lieux remarquables et autres curiosités d’une vallée. Ce loisir se positionne du même coup comme un outil fédérateur, permettant aux participants d’avoir une relation/sentiment de proximité avec la station et d’en découvrir les facettes insoupçonnables.

 

Destinations touristiques : Dites-nous « pourquoi » !

Un certain nombre d’organismes touristiques ont présenté de nouvelles créations, et parfois même des campagnes entières pour attirer les touristes estivaux dans leurs filets. Au-delà de l’aspect technique (image et son), analysons d’un peu plus près le message envoyé par chaque annonceur. Quel est le secret pour transformer un « Où vais-je aller cet été ? » en un « Pourquoi ne pas aller ici ?». La différence est subtile, mais importante.

A première vue, où souhaiteriez-vous aller ? En Suisse ou à Atlantic City ? Regardons maintenant leurs campagnes respectives.

Atlantic City

 

Switzerland Tourism

La vidéo suisse est plus longue, mais même réduite à 30 secondes, la différence est flagrante. Atlantic City nous dit ce qu’il est possible de faire, tandis que la Suisse nous explique pourquoi nous y rendre.

Regardez la vidéo d’Atlantic City à nouveau, et dites-nous… Mis à part l’océan, qui est malheureusement très absent, laquelle de ces activités pourriez-vous accomplir dans votre propre ville : jouer sur la plage, faire du wakeboard, assister à un défilé, flirter en soirée ? Ces activités sont toutes réalisables à Atlantic City. Mais elles le sont aussi à Las Vegas, Foxwoods ou Niagara Falls. Les touristes potentiels savent déjà qu’il y a de quoi se restaurer, danser, et que les animations y sont divertissantes et branchées. Mais alors pourquoi devraient-ils dépenser leur argent et choisir d’aller à Atlantic City ?

Les Suisses, quant à eux, répondent à cette question immédiatement, tout en montrant la grande variété d’activités à pratiquer. Via cette vidéo, ils expliquent qu’ils peuvent offrir des vacances « parfaites ». Or les touristes ne sont-ils pas à la recherche de vacances sûres, relaxantes,…parfaites ?

La Suisse est sans doute comparable à l’Autriche, l’Allemagne, l’Italie et même à la France. Elle possède des montagnes, une bonne surface géographique, des commodités confortables ainsi que des attractions comme la gastronomie et le shopping. Ce qui rend la Suisse différente, c’est sa façon d’expliquer pourquoi venir la visiter.

Il y a 15 ans, les destinations touristiques pouvaient se différencier avec une belle image et une liste de choses à faire puisque seules les destinations de premier plan pouvaient cibler un public large. Aujourd’hui, grâce à la démocratisation des vacances par l’intermédiaire du numérique, chaque destination peut se permettre financièrement de convaincre le consommateur. Entre Facebook, Google ou encore TripAdvisor, un client peut connaître instantanément les activités de chaque ville. Mais quels sont les éléments différenciateurs ? Le client sait déjà ce qu’il peut faire. Il souhaite donc savoir pourquoi il devrait le faire…

Destinations touristiques : comment créer du contenu visuel à partager ?

La « photographie sociale » suscite toujours beaucoup de questions. Comment utiliser Pinterest ? Qu’en est-il d’Instagram ? Flickr est-il encore d’actualité ? Mais globalement, quelque soit le réseau social, la première question est toujours la même : comment faire pour que les photos soient épinglées, partagées, ou encore twittées ?

Le phénomène de « photographie sociale » a pour but d’influencer les masses en combinant un profil de marque et de beaux clichés. Toutefois, publier une photo impactante ou encourager les internautes à la partager n’est pas une tâche facile. Par exemple, s’ils ont déjà relayé des photos du Golden Gate Bridge, que peut ajouter une agence de voyage de San Fransisco à la conversation visuelle?

Lors d’un récent voyage, un arrêt éclair au centre de l’Utah a souligné le besoin insatiable des touristes de prendre des photos d’eux-mêmes, de préférence avec un signe distinctif désignant l’emplacement en arrière-plan. Forcé de constater ces habitudes, le personnel de l’Office du Tourisme de l’Utah a proposé une alternative ingénieuse aux traditionnelles photos du bord de route. Ils ont mis en place un immense panneau portant l’inscription « Welcome to Utah ». Le résultat ? Une ligne d’attente de plusieurs familles qui patientaient sagement pour prendre leur photo devant ces lettres surdimensionnées.

Il est certain que cet endroit, idéal pour les clichés de famille, apparaîtra sur Facebook ou encore Instagram. Finalement, les touristes publient des photos de leurs destinations si ces dernières leur donnent quelque chose d’intéressant ou d’original à partager.

De multiples exemples aux Etats-Unis s’ajoutent à la liste des succès. Le « California » de Disneyland qui a été retiré, et le fameux « Welcome to golden » localisé à Front Range dans les Rocheuses en font partie.

Nul doute que les individus adorent prendre et partager leurs clichés. Si les destinations touristiques souhaitent encourager et multiplier ce phénomène, elles doivent donc leur proposer une toile de fond idéale . Construisez un signe et le partage social opérera !

Comment rédiger un article de blog qui fait mouche? par Jalal (élève en 3ème au Collège Beauregard, Cran Gevrier)

SWiTCH accueille une jeune et nouvelle plume !
Cette semaine, Jalal, nouvelle recrue fraichement débarquée du Collège Beauregard à Cran Gevrier, a rejoint notre « White Lab ». Il a choisi SWiTCH pour réaliser son stage en entreprise. Cette expérience lui a permis de découvrir l’univers professionnel et d’en savoir un peu plus sur le fonctionnement de notre agence. Bien que nous soyons très sympas – oui, oui, 🙂 – Jalal n’a pas chômé ! Son baptême du feu consistait à rédiger son premier article de blog et nous sommes ravis de vous présenter le fruit de son travail. 
On espère qu’il aura apprécié l’expérience… Sans plus attendre, voici l’article 😉 Bonne lecture !

Comment rédiger un article de blog qui fait mouche?
A la différence du site intenet, le blog traite d’un seul sujet ou d’un petit ensemble de sujets apparentés. Qu’il s’agisse d’une entreprise, d’un particulier…, le blog atteint sa cible efficacement si on respecte les quelques règles de base qui lui donne une structure attrayante. Je propose d’exposer dans un premier temps le processus de rédaction de l’article du blog. J’aborderai dans un deuxième temps les quelques règles de communication à respecter pour assurer une lecture fluide du contenu du blog.

 

Processus de rédaction de l’article du blog

Sommairement, les étapes à suivre pour la rédaction de l’article du blog sont les suivantes:

  • D’abord, bien définir l’idée du blog. Une idée mal définie affectera de manière certaine la structure du blog. Exemple: l’idée de cet article est de montrer comment rédiger un article de blog efficace.
  • Une fois l’idée en poche, bien organiser l’article à l’aide d’un plan. Dans notre exmple nous avons fait simple, le plan se compose de deux points: le processus de rédacion et les règles de communication.
  • Ecrire « au kilomètre »: ce que j’entends par écrire  »au kilomètre » c’est écrire toutes les idées en lien avec l’idée principale de l’article. Dans notre cas, il était simple de se focaliser sur les idées en relation avec la structure et les règles de communication.
  • Une fois que la matière première de l’article est prête, Commencer votre mise en page en faisant ressortir la structure de l’article (titres, sous -titres…), les phrases et les mots clés (en gras par exemple).
  • L’étape qui suit consiste à paufiner l’article, à corriger l’orthographe et à intégrer des illustrations dans la mesure du possible ce qui rend l’article aéré et attrayant.
  • Enfin, un article bien conçu n’est pas suffisant si on n’assure pas sa promotion et son suivi.

 

Règles de communication à respecter pour une lecture fluide

Après avoir abordé les aspects relatifs à la structure de l’article dans la précédente partie. Voyons maintenant les quelques règles de base de communication à respecter pour bien diffuser l’idée de l’article et le message attenant.

  • Le titre de l’article doit être accrocheur. Dans l’exemple de cet article, l’expression  »faire mouche » vise à éguiser la curiosité et l’enthousiasme du lecteur à apprendre quelque chose de nouveau.
  • Ennoncer de quoi aller-vous parler?. C’est la phrase d’accroche qui doit mobiliser l’attention du lecteur et lui donner envie de lire le reste. Elle ne doit pas être très longue.
  • Ennoncer ensuite le plan que vous allez suivre dans votre article afin que le lecteur puisse disposer d’un fil conducteur. Faire simple et ne pas oublier de faire preuve d’humour si le sujet si prête. Se tenir à ce plan dans les parties de développement.
  • Développer les différentes parties du plan sans oublier d’introduire des phrases de liaison entre ces différentes parties. Par exemple, en introduction de cette partie consacrée à la communication, j’ai rappelé que la partie consacrée à la structure a été traité et que j’abordai la deuxième partie de l’article. L’objectif de cela étant de maintenir l’état d’éveil du lecteur et de toujours susciter son intérêt. Faire des phrases courtes et respecter le triptique: annonce, argument et illustration.
  • Veiller à ce que les différentes parties soient équivalentes et représentent un tout cohérent et équilibré. Finir par une conclusion qui reprend et renforce l’idée maitresse comme dans notre exemple la phrase suivante:

Par sa structure et son caractère centré sur un sujet ou un petit ensemble de sujets, le blog est un support redoutable de communication. C’est ce qui fait la force de cet outil de publication en ligne qui permet de communiquer de manière interactive et moderne à la fois pour le bénéfice d’une activité professionnelle et/ou privée.

 

 

Brive, une stratégie de marque 100% gaillarde !

Complètement décomplexée, Brive-la-Gaillarde surfe aujourd’hui sur une notoriété de ville innovante et décalée. Retour sur la mise en place de sa nouvelle stratégie de marque, un véritable exemple de réussite en termes de réflexion territoriale et d’innovation.

 

Brive-la-Gaillarde a entamé dès 2004 les travaux sur sa marque de destination. À l’origine, un audit a permis de mettre en exergue ses valeurs, ses vecteurs identitaires. De là a été créée sa nouvelle plateforme de marque. Le concept repose sur deux points essentiels : l’attitude (100% gaillarde) et les moustaches. Le parti pris de Brive est d’associer tradition et modernité et de jouer sur un univers décalé. Ce concept est d’ailleurs parfaitement illustré par le making-off de leur dernière campagne sur leur chaîne YouTube dédiée.

 

 

1)    Une stratégie dite de la « longue traîne »

Le plan marketing qui a été décliné, repose sur le modèle de la « long tail ». L’objectif est de se positionner sur des marchés ultra segmentés et de proposer une offre dédiée. Cette logique (osée) de niche permet ainsi d’avoir des retours sur investissement beaucoup plus importants.

 

2)    Une stratégie 2.0

Ne disposant pas d’un budget conséquent, Brive a opté pour une stratégie d’influence sur les média sociaux. Les résultats en termes d’implication sur Facebook sont impressionnants. La page « 100% Gaillard » totalise aujourd’hui plus de 7 000 fans, dont 80% d’actifs, qui partagent sans cesse leur amour pour la cité. Le ratio semble très important lorsqu’on considère raisonnable un taux de 15% d’actifs.

 

 

L’engagement serait donc l’une des clés de la réussite puisque chaque fan actif se transforme en un relais de communication. Les réseaux sociaux, outils participatifs par excellence, ont également permis de créer une impulsion locale et de fédérer les acteurs du territoire.

 

3)    Une stratégie fédératrice

Tout l’enjeu de la stratégie repose sur l’adhésion des habitants. A l’aide de différentes opérations de communication et de produits dérivés, l’Office du Tourisme de Brive a su transformer les acteurs du territoire en véritable ambassadeurs de la destination. Grâce au slogan « Réveillez le gaillard qui est en vous », la population s’est prise au jeu et s’est convertie au port de la moustache !

Le jeu concours « Brive – Brive » est l’exemple parfait de cette implication de la part des ambassadeurs locaux. Mis en place sur Facebook, les habitants devaient poster en ligne leur plus belle déclaration d’amour à Brive et pouvaient ainsi gagner un tour du monde. Lors de ce périple, les gagnants  devenaient les ambassadeurs officiels de la ville et généraient un « brand content » régulier à forte valeur ajoutée.

 

 

Pari gagné pour Brive-la-Gaillarde qui jouit aujourd’hui d’une notoriété non négligeable et qui apparaît comme l’un des chefs de file en matière de stratégie de « marque de destination ». En ce qui concerne leur communication, l’avenir est au co-branding avec les entreprises locales. Image dynamique assurée !

 

 

Source : Espace Tourisme & Loisirs, Marques de destination – N°303 Mai 2012

 

 

 

Tourisme : vers une intelligence territoriale ?

Depuis les années 1990, la France reste la première destination touristique mondiale. S’il est certain que notre diversité régionale, notre gastronomie et notre patrimoine légendaires sont autant d’atouts qui participent à notre attractivité et notre renommée, nous devons prendre en compte la concurrence mondiale de plus en plus vive. Afin de garder cette longueur d’avance, de nouvelles réflexions territoriales voient le jour. Aujourd’hui l’objectif de nombreuses destinations touristiques consiste à adopter un projet global de destination qui transformerait un territoire en une « marque ». Ces modèles en question ont l’avantage d’être sur-mesure et de hisser la coopération au rang de valeur primordiale. Quels sont les enjeux ? Quels sont les pièges à éviter et les exemples à suivre ?

 

Une stratégie nationale

Alors que l’article 111-1 du code du tourisme prônait déjà la coopération dans le secteur touristique, la dernière réforme des collectivités territoriales de 2010 va plus loin.  L’objectif est d’inciter ces projets de synergie entre organismes territoriaux et collectivités locales en partageant les domaines de compétences. Le législateur incite ainsi les destinations touristiques à s’adapter aux nouvelles donnes internationales. Si l’innovation est le maitre mot de ces projets, il n’en reste pas moins que chaque entité conserve sa liberté et ses spécificités territoriales.

Au niveau national, la création du Conseil Supérieur des Territoires parachève cette volonté de mutualisation des moyens. Outre l’objectif de réaliser des économies d’échelle, les destinations doivent rester flexibles pour séduire différentes cibles de marché. Dans cette logique de travail en réseau, les possibilités sont infinies. Toutefois, certaines conditions préalables sont à respecter afin d’assurer l’efficacité d’un projet. L’état d’esprit et la confiance sont nécessaires, tout comme la capacité à donner du sens au projet ainsi que la définition des règles.

 

Destination et Territoire, une distinction nécessaire

Si l’enjeu de compétitivité internationale reste prégnant, la précipitation peut rapidement desservir une cause. Ainsi en amont, il est nécessaire de différencier le territoire (qui va nourrir la marque par ses valeurs intrinsèques) et la destination (vitrine virtuelle qui sert à promouvoir le territoire). Cette dernière ne peut en aucun cas supplanter le territoire. Par ailleurs, la vision uniquement mercantile d’un territoire représente une instrumentalisation dangereuse de son identité. Une stratégie de marque pérenne et efficace suggère une fédération et une formation de tous les acteurs locaux. Sans ce respect et cette volonté collective, aucun projet ne peut éclore et se construire.

Comme l’a engagé le Limousin, le travail de fond qui va nourrir l’identité territoriale et in fine le positionnement marketing reste un préalable essentiel.

 

Deux exemples probants : Savoie Mont-Blanc & Montagnes du Jura

En 2006, les départements de Savoie et de Haute Savoie ont adopté une marque de destination unique : Savoie Mont-Blanc. Les enjeux étaient clairs : « faire ensemble » pour assurer une meilleure visibilité de la région au niveau national et international et permettre aux habitants de s’approprier ce nouveau territoire. Aujourd’hui le nouvel axe de travail est de construire un système d’actions cohérent qui doit créer de la valeur pour la marque.

A moindre échelle, le Jura a également créé une marque de destination : Montagnes du Jura. Souffrant d’un manque de notoriété, le Conseil Général du Jura a souhaité se lancer dans une aventure similaire. Les objectifs principaux sont de développer une renommée européenne, d’attirer une nouvelle clientèle afin de désaisonnaliser la destination et de structurer l’offre touristique.

Même si l’organisation autour de ces projets collaboratifs reste difficile à engager, ces tentatives tendent à se multiplier et permettront sans soute à la France d’affirmer sa compétitivité sur la scène internationale.

 

Source : Espace Tourisme & Loisirs, Marques de destination – N°303, Mai 2012

10 idées créatives pour se distinguer sur Pinterest

L’ère du multimédia a profondément bouleversé l’univers marketing. Avec la multiplicité des canaux et des réseaux, les responsables de la communication doivent faire des choix stratégiques et arbitrer intelligemment entre ces supports. Avec plus de 550 millions de sites web dans le monde, l’innovation et l’originalité sont les clés pour se différencier dans la masse. Justement, l’émergence de Pinterest offre de nombreuses opportunités aux entreprises afin de mettre en avant leur univers et leur créativité. Voici quelques idées pour se lancer…

 

1. Punaiser vos vidéos

Toutes les vidéos promotionnelles, corporate ou encore les tutoriels disponibles sur le site web de l’entreprise ou sur une chaine Youtube ou Vimeo, peuvent être implémentées sur Pinterest. La variété de ces supports crée, in fine, l’univers de la marque.

2. Créer un tableau « Derrière les coulisses »

Révéler les coulisses de l’entreprise, comme l’a fait Hubspot – société de conception de site web – permet de valoriser les employés et de véhiculer une image positive de la marque. En punaisant des photos de team-builing, d’événements corporate, ou tout simplement de l’environnement quotidien du personnel, l’entreprise s’humanise et tisse un lien de proximité avec sa communauté.

3. Implémenter un tableau « Événement »

Un tableau dédié aux événements, qu’ils soient réguliers, annuels ou « one shot », permet de promouvoir les actualités de l’entreprise. Se sentant valorisés, les participants et les intervenants pourront ensuite « re-punaiser » et partager les photos et vidéos pour une meilleure viralité.

4. Mettre en avant d’autres entreprises innovantes

Pinterest est une source d’inspiration quotidienne. Partager ainsi le travail créatif d’autres compagnies permet de renforcer son réseau et de recevoir par la suite des recommandations positives d’autres entreprises.

5. Uploader les couvertures de livres (ou eBook)

Il est également important de punaiser les images de couverture des publications off et online de l’entreprise. En ajoutant un lien vers Amazon, ou l’e-Book en question, l’internaute pourra prendre connaissance de ces travaux. Cette pratique permet de valoriser l’expertise et accroit la crédibilité de la marque.

6. Partager les visuels présents sur le blog de l’entreprise

En ajoutant les images illustrant les articles de blog, cela suscitera la curiosité des utilisateurs de Pinterest, qui cliqueront sur le lien de l’article. Un moyen efficace de générer du trafic vers le blog de la marque !

7. Miser sur la viralité des infographies

Très tendance, le pouvoir viral des infographies est indiscutable. Ce support permet en un temps très court de s’informer sur un sujet précis. Les infographies sont très appréciées des utilisateurs de Pinterest et génèrent un trafic non négligeable.

8. Créer un tableau réservé aux employés

Toujours dans un objectif d’humaniser l’entreprise et de valoriser ses compétences, il est conseillé de partager les photos et les centres d’intérêts des équipes dans un « staff board ».

9. Mettre en avant les produits et/ou services

Pinterest est une vitrine fantastique pour promouvoir les produits d’une marque. D’ailleurs, selon une étude, le réseau social génèrerait plus de ventes (10%) que Facebook (7%).

10. Promouvoir les présentations « Slideshare »

Notre dernier conseil est de relayer les présentations Powerpoint de l’entreprise. Elles peuvent être non seulement uploadées sur Pinterest, mais également publiées sur SlideShare, ajoutées sur le blog de la marque, et relayées via Facebook, Twitter et LinkedIn.

 

A vous de jouer !

 

Via