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[La bonne nouvelle du mercredi] Edgar Grospiron confie son personal branding et son community management à SWiTCH !

Edgar-Grospiron

Triple champion du monde de ski acrobatique (en 1989, 1991 et 1995), premier champion olympique de ski acrobatique aux J.O. d’hiver d’Albertville en 1992, Chevalier de la Légion d’honneur en 1996, auteur d’un livre best-seller « Quand on rêve le monde » (Ed. ALTAL) sur les mécanismes communs de réussite dans le monde du sport et de l’entreprise, Directeur général du Comité de candidature d’Annecy 2018 pour l’organisation des Jeux olympiques d’hiver, le palmarès d’Edgar Grospiron est bien rempli… Et n’en fini pas de s’allonger : membre de la commission de coordination des J.O. d’hiver de Pyeong Chang 2018, membre du Conseil d’Administration de la Candidature de Paris 2024, Président des Olympiens de France, Conférencier & Consultant en management et motivation, actionnaire fondateur de Wikane, le 1er réseau français de consultants en développement global des PME. Pour l’accompagner dans le développement de son personal branding et de son community management, il nous fait l’honneur de travailler avec SWiTCH ! Le challenge est lancé.

Les objectifs à atteindre sont à la hauteur du champion :

  • Concevoir et mettre en œuvre une stratégie digitale durable et différenciante, afin de développer l’influence d’Edgar Grospiron en ligne et dans la « vie réelle ».
  • Générer des demandes entrantes pour ses conférences.

Depuis septembre dernier, un chef de projet est donc dédié à l’accompagnement d’Edgar Grospiron pour réordonner sa présence sur les réseaux sociaux, assurer une prise de parole régulière, répondre aux « fans », développer son influence sur le web en tant qu’expert en motivation et en performance des hommes et des organisations, veiller sur sa e-réputation et éviter les usurpations.

Bref, comme dirait Edgar : « un travail sérieux sans se prendre au sérieux ! »

Bilan de l’Assemblée Générale 2010 de Domaines Skiables de France

Comme promis hier, voici un bilan de la 62ème A.G. de Domaines Skiables de France.

Astérix, Obélix et le management
La 1ère journée de travail s’est ouverte sur une conférence sur le thème du « Management ». Un orateur charismatique avec un CV long comme le bras a donc tenté de nous présenter sa vision de cette question au combien centrale. Il en résulte un cocktail assez indigeste d’anecdotes datant pour la plupart des années 1970 (époque probable de la jeunesse de l’orateur), de P.N.L. (Programmation Neuro-Linguistique) et d’analyse transactionnelle directement sortie du café du commerce. Le tout mêlé de blagues graveleuses et d’une bonne dose de vulgarité. Cela dit, nous avons apprécié l’ingénieuse utilisation du storytelling et des références à Astérix et Obélix pour faire passer la pilule…


« Le mythe de l’or blanc est bel est bien derrière nous »

Heureusement, la seconde partie de cette 1ère journée a été largement sauvée par les intervenants de l’Assemblée Générale. L’après-midi s’est donc poursuivie par une présentation intéressante des comptes 2009  par Jean-François Blas (de la Compagnie des Alpes). En substance, tout va bien, il y a des sous ! Le vote à l’unanimité des comptes s’est déroulé devant une assemblée beaucoup plus préoccupée à rechercher sa photo ou celle de ses petits camarades dans le dernier Montagnes Leaders. Après une rapide modification des statuts de la chambre syndicale professionnelle, signe de vitalité, puisque cela se produit tous les 3 ans en moyenne, Laurent Reynaud – fraîchement promu au rang de Délégué Général – a présenté son rapport pour l’année écoulée. Avec le dynamisme qui le caractérise, il nous a notamment indiqué que DSF comptait désormais 383 adhérents, dont 149 membres correspondants (tels que SWiTCH !) et que la fréquentation des domaines skiables avait été multipliée par 2 en 20 ans. Cette année, la France occupe le 2ème rang mondial en terme de journées-skieurs avec 56,1 millions (après les USA avec 59,7 millions et juste devant l’Autriche avec 53,4 millions), soit un recul de 4% par rapport à l’année dernière. Cela génère tout de même 120 000 emplois dans 220 stations et 60 millions de nuités cet hiver. Il a néanmoins conclu cette présentation par le fait que « le mythe de l’or blanc est bel est bien derrière nous ». On en profite pour vous glisser ici l’une des vidéo qui nous a été diffusée :

Le soir, nous avons eu le plaisir d’assister à un sympathique spectacle dans l’Opéra de Vichy, suivi d’une soirée de Gala remarquablement bien organisée et riche en rencontres.

Les bilans des Commissions, les femmes et Annecy 2018
Le lendemain, chaque Commission a fait un rapide bilan des travaux menés dans l’année. On retiendra notamment l’excellente présentation de Bernard Chapuis (Compagnie des Alpes) sur la problématique du ski et des jeunes. Il semblerait qu’il faille d’une part « redonner le goût du ski aux jeunes » et d’autre part que l’opération « Collège à la neige » soit un succès. Ainsi que celle de Jean-Yves Salle (Compagnie des Alpes) au sujet de la démarche sur les risques psychosociaux menée en partenariat avec la CRAM pour mesurer le stress au travail. Un focus sur les femmes de la profession a précédé le rapport annuel de la présidence. Blandine Tridon (Directrice Générale du Groupe Labellemontagne), Estelle Triquet (Directrice des Remontées Mécaniques du Grand Bornand), Christine Massoure (Directrice de N’Py), Blandine Verdanet (Directrice de Piau Engaly) et Christine Robin (Présidente de Manigod La Croix Fry) ont ainsi été mises en lumière. Toutes ont fait remarquer que le fait d’être une femme changeait peu de choses, si ce n’est qu’elles avaient encore moins droit à l’erreur et qu’il fallait qu’elles prouvent bien plus qu’un homme qu’elles avaient leur place au sein de la profession. No comment !

Aimé Jacquet et Edgar Grospiron ont fait une rapide intervention au sujet de la candidature d’Annecy aux Jeux Olympiques d’Hiver de 2018. DSF a renouvelé son soutien à cette cause. Quelques minutes plus tard, un chèque de plus de 741 000 euros a aussi été remis à la Fédération Française de Ski pour soutenir les athlètes français.

Enfin, un déjeuner ensoleillé a permis de clôturer ses deux journées de travail, où nous avons notamment rencontré l’une de nos fidèles lectrices, Cathy Michel (SATA). 😉

Crédit photo : Armelle Solelhac – SWiTCH (réalisé avec mon BlackBerry, désolée pour la piètre qualité !)
Crédit vidéo : Domaines Skiables de France

[Propagande] La confiance en soi

Cet été, pour me rafraîchir les idées, j’ai relu quelques un de mes classiques : Bien heureux les fêlés, Toutes les entreprises ont été petites un jour, Quand on rêve le monde, Let my people go surfing, etc. Dans ce dernier livre, j’ai noté une réflexion d’Yvon Chouinard qui m’a inspiré ce billet.

« Pratiquer des sports à risque m’avait enseigné une leçon importante : ne jamais dépasser les limites. Vous poussez la machine et vous vivez pour ses moments où vous allez vous retrouvez sur le fil, mais vous ne faites jamais le grand saut. Il faut être honnête avec soi-même ; connaître ses forces et ses limites et ne pas chercher à vivre au-dessus de ses moyens. La chose est vraie dans le monde de l’entreprise. Dès qu’une entreprise essaie d’être ce qu’elle n’est pas, qu’elle essaie de « tout avoir », elle disparaît. »

On peut retirer beaucoup de leçons de ces sages paroles. Mais aujourd’hui, je me limiterai à la question de la confiance en soi, qui à mon sens est une des clés du succès. Mieux on se connaît, c’est-à-dire plus on a une vision précise – et sans se mentir ! – de ses capacités, de ses forces et ses faiblesses, plus il est possible d’avoir confiance en soi. Or, c’est précisément cette confiance qui permet à l’entrepreneur de savoir qu’il peut réussir ce qu’il entreprend. La confiance en soi est rarement innée. Elle s’acquiert avec le temps… et avec beaucoup d’entraînement.

Petit hasard de la vie, je suis tombée il y a quelques jours sur une vidéo de Roger Federer qui fait une démonstration saisissante de ces propos à l’occasion du tournage d’une publicité pour une célèbre marque de rasoirs. Il respire tellement la confiance que rien ne semble pouvoir lui faire manquer son but (par deux fois !) face à un technicien, qui lui semble pour le coup cruellement manquer d’assurance !


Cette démonstration n’est pas sans nous rappeler celle d’Andy Murray que nous avions publié il y a quelques mois… 😉

Crédit Photo Roger Federer : DR

Jeux olympiques d’hiver 2018 : Annecy officiellement désignée « Ville candidate » par le CIO

Le Comité International Olympique (CIO) a annoncé hier après-midi la liste des villes candidates à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de 2018.

Munich (Allemagne), PyeongChang (Corée du Sud) et Annecy (France) ont été officiellement désignées « Villes candidates ». Elles n’étaient que trois prétendantes, le résultat n’est donc pas une surprise. En revanche le CIO a adressé un avertissement à la candidature haute-savoyarde concernant l’éloignement des sites de compétition. Il reste un an de compétition internationale jusqu’à l’élection de la Ville hôte des JO de 2018, le 06 juillet 2011 à Durban en Afrique du sud. L’équipe d’Edgar Grospiron, Jeau-luc Rigaut (Maire d’Annecy), Perrine Pelen (Ambassadrice sportive) et Jean-Pierre Mougin (Secrétaire général du Comité National Olympique et Sportif français) va donc devoir revoir sa copie.

D’ici là, la ville d’Annecy organise demain une journée olympique sur le Pâquier avec plein d’ateliers sportifs et des concerts.