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Qu’est-ce que les Social Marketing Analytics (S.M.A) ?

Les Social Marketing Analytics (SMA) permettent aux organisations de mesurer et expliquer les performances des actions qu’elles mettent en place sur les médias sociaux. Mais que signifient ces termes savants ?

Les SMA, c’est un processus de mesure, d’analyse et d’interprétation du résultat des interactions entre les marques et les consommateurs. Des objectifs précis doivent donc être initialement définis. Les SMA servent à comprendre les résultats d’une stratégie dite « sociale ».

Comment caractériser ce type de stratégie ? Elle doit reposer sur 3 axes :
– Une valeur ajoutée
– Une présence sur les réseaux sociaux
– Un community management : une animation et des interactions

Si la stratégie est efficace, son impact sera très important pour l’organisation. Il est donc d’autant plus intéressant d’en mesurer le résultat. Et pour aller plus loin, vous pouvez lire cette présentation :

Source de la présentation : Jeremiah Owyang
Source de l’article :

Camille Jourdain

Foursquare : le nouveau gadget web-social ?

Ca fait un petit moment qu’on hésite à vous parler de Foursquare, à cause des effets pervers évidents que présente cet outil (Cambrioleurs 2.0 : allez voir ailleurs si j’y suis !). Cela dit, il paraît que c’est « le nouveau gadget web-social à la mode » en ce moment et selon les spécialistes ce serait même « le service de 2010 ».

Pas d’article laborieux pour vous expliquer ce qu’est Foursquare, mais une vidéo de 2 min qui présente les choses simplement :
 

Et si après ça, il reste encore des zones d’ombre, voici une présentation pleine d’humour qui vous donnera surement quelques bonnes idées d’applications pour votre business :


Source de la présentation : Gregory Pouy

Crans-Montana, une stratégie de communication cohérente (Série « Communication » – 2)

Tournons-nous vers la Suisse et plus particulièrement vers Crans-Montana. Cette station a mis en place une stratégie de communication sur le Net pour le moins remarquable.

Son site web en lui-même est très intuitif. Un panorama 360° de la station en page d’accueil (pas lourd à charger, ce qui n’est pas négligeable !). La possibilité d’avoir tout le site en anglais, français, italien et allemand : classique, mais essentiel pour une station internationale. Des webcams et une web TV, pour diffuser les actualités de la station. Un blog régulièrement mis à jour pour le grand public.

Ce site,  agréable d’utilisation, est disponible sous sa version mobile. Une applicatio pour iPhone et pour Androïde sont proposées en complément. En parallèle, des outils numériques sont développés. Les touristes de l’hiver prochain pourront obtenir des informations sur leurs mobiles à partir de bornes blue-tooth disposées par l’office de tourisme dans la station.

La station a bien sûr son compte Twitter et sa page Facebook pour rester en contact avec sa « communauté » de visiteurs. De leur côté, les professionnels disposent d’une interface qui leur est dédiée.

Cette stratégie s’explique par une diminution des visites et des appels à l’office de tourisme de Crans-Montana. Non pas dues au mauvais accueil, mais à l’augmentation de l’utilisation des nouvelles technologies. La préparation du séjour par les vacanciers se fait de plus en plus en amont de leur séjour et surtout en ligne. Comme Vail ou Montréal, les responsables du tourisme à Crans-Montana ont donc décidé de s’adapter aux nouvelles habitudes des consommateurs. Who’s next ?

Crédits photos : Crans- Montana

 

Combien vaut votre page Facebook ?

Il était difficile d’évaluer la valeur marchande de sa page « Fan » sur Facebook. C’est désormais possible grâce au site Internet Vitrue qui la calcule pour vous !

La manipulation prend 30 secondes. Il suffit de copier l’adresse de votre page Facebook. Puis un graphique avec la valeur en dollars apparaît. Le potentiel de croissance de celle-ci est aussi indiqué. Et pour l’atteindre, Vitrue vous donne ses conseils.

Cette estimation est calculée selon différents facteurs : le nombre de fans, d’interactions, de posts, etc. Selon les situations, le programme propose différentes bonnes pratiques pour progresser. Il analyse donc les points forts et les points faibles.

Enfin, un autre onglet permet de se comparer à 2 autres pages. Si vous voulez voir où en est la concurrence ! La différence entre une page régulièrement actualisée et une qui l’est très rarement est parfois surprenante.

Bien sûr ce n’est qu’une appréciation, mais c’est assez amusant de voir le résultat.

Crédits photos : Vitrue

La boîte à outils webmarketing 2010

Ci-dessus une illustration sympathique sur les tendances du web marketing en 2010. Au menu :

– les outils classiques : techniques ayant fait leurs preuves, toujours bonnes à connaître et surtout à appliquer ;

– les outils d’optimisation de votre site web : permettent d’apporter des visiteurs sur votre site. Mais que fait le visiteur une fois sur votre page web ? S’abonne-t-il à une Newsletter ? Achète-t-il vos produits ? À vous de l’orienter selon vos objectifs ;

– les outils innovants : sont des techniques émergentes. SWiTCH a déjà consacré des articles sur plusieurs de ces thématiques telles que l’e-réputation, les médias sociaux, les blogs

Selon le profil de votre organisation, vous trouverez certainement la combinaison gagnante composant votre mix webmarketing de 2010 dans cette  boîte à outils. Cette année, la stratégie marketing passe avant tout par le web, y compris pour les destinations touristiques, comme nous le démontrent Vail et Montréal.

Crédits photos : Kinoa

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Les réseaux sociaux : vecteurs d’achats ?

Les réseaux sociaux prennent de plus en plus d’importance dans la vie des Français. C’est pourquoi eBuyClub, leader et inventeur du CashBack en France, a réalisé une étude afin de mieux comprendre ce phénomène et montrer en quoi les réseaux sociaux peuvent être vecteurs d’achats. Le site eBuyClub.com regroupe la plus importante communauté d’acheteurs sur Internet et plus de 1000 sites marchands partenaires (dont La Redoute, La Fnac, Amazon,…) ce qui lui permet d’avoir une vision transversale de l’ensemble du marché de l’achat en ligne. eBuyClub a rédigé ce bilan à partir d’un sondage effectué sur 2163 participants et des informations recueillies par l’Ifop. Voici quelques résultats :

 

Les relations publiques 2.0 : les blogs (Série « Web »- 10/10)

Ce n’est pas un secret, les relations publiques 2.0 passent par l’utilisation des blogs… et dépendent  donc de l’influence des blogueurs ! Aujourd’hui, il est très facile pour tout un chacun de créer son blog. Le plus difficile reste d’avoir un public et de jouer de son influence sur lui. C’est un jeu d’équilibre entre les marques qui aimeraient que les blogs parlent de leurs produits (en bien) et les blogueurs qui ont une certaine liberté de ton, garant de la valeur ajoutée de leur contenu.

Les blogueurs sont conscients d’être un support de pub, voire l’égérie d’une marque ! Ils parlent spontanément ou de manière sponsorisée d’un produit. Cependant ils ne veulent pas être restreints à cette utilisation et revendiquent leur liberté de ton. Dans certains cas, les blogueurs les plus influents (qui se connaissent entre eux) peuvent se liguer contre une organisation : ils en arrivent à former une communauté. C’est pourquoi il est intéressant pour une marque de les avoir dans son « camp ». Comment faire pour capter l’intérêt d’un blogueur, afin qu’il écrive un article (positif) sur son organisation ou sa destination touristique ?

Il faut éveiller sa curiosité, qu’il ait envie d’écrire quelque chose d’original, apportant de la nouveauté à ses lecteurs. La relation marque/blogueur ne doit pas rester virtuelle, des échanges téléphoniques et en face à face sont le passage obligé. Il faut créer une relation privilégiée et ne pas se limiter à un échange d’informations par le biais d’un dossier de presse…la question à se poser pour la marque est « comment je peux aider le blogueur à écrire un article intéressant ? ».

Une invitation pour la destination ou pour tester ses produits est souvent appréciée. Par petits groupes, afin d’être disponible pour les questions et les échanges. Le blogueur partagera son expérience à travers des images et ses impressions. Quelques jours en station offerts à un blogueur influent valent tout autant qu’une campagne de pub ! De même une marque de sport peut offrir un produit afin que le blogueur lui consacre un article après avoir été l’essayé en conditions réelles. Les blogueurs sont des testeurs !

Enfin sur Internet, tout est interdépendant, le blogueur n’est pas cantonné à son blog. Ses articles sont relayés par les réseaux sociaux, comme Twitter par exemple. En tout état de cause, créer une relation privilégiée avec les blogueurs influents dans votre secteur est profitable sur bien des plans.

Pour finir, voici une petite vidéo – réalisée par l’agence NoSite – qui laisse la parole aux blogueurs influents. C’est plutôt instructif !


influence-moi si tu peux !
envoyé par nosite. – L’actualité du moment en vidéo.

Les impacts budgétaires de l’e-tourisme (Série « Web » – 9/10)

On vous en parle régulièrement, les outils Internet deviennent une nécessité pour entrer en relation avec les visiteurs touristiques. C’est la fin des stratégies de communication basées essentiellement sur le « papier ». Conséquence : le budget accordé à la promotion touristique par Internet augmente… mais normalement, par effet de verres communiquants, le budget « print » diminue. 😉

Le niveau d’engagement financier dans une stratégie web varie selon la taille de la structure et ses objectifs. Ainsi, un conseil départemental du tourisme (CDT) n’aura pas le même montant d’investissement qu’un petit hôtel deux étoiles au fin fond des Bauges. Ces changements s’appliquent sur le web, mais aussi dans le monde réel.

Sur le web, on peut renforcer sa visibilité à travers une campagne d’achat de mots clés, les adwords. Le but est d’aider le référencement de son site Internet. En outre, l’avènement des Smartphones semble inévitable. Ceux-ci requièrent une interface différente : un site mobile, adapté au format des écrans tactiles de petite taille. À noter que le développement d’une « appli » spécifique, ainsi que sa promotion sont fortement appréciés par la clientèle. Enfin, cela ne sert à rien de mettre en place ces outils sans créer un contenu pertinent. C’est justement la valeur ajoutée que vous pourrez apporter par rapport aux concurrents, qui vous différenciera.

Au-delà de ces aspects « virtuels », il y a des impacts sur le monde réel. La promotion d’un site Internet peut se faire sur tous les supports possibles (affiches, vidéos, autocollants, signature en fin de mail ou de courrier, etc.). Les locaux devront être aménagés pour être plus fonctionnels (écrans plats, tactiles ou encore possibilité d’imprimer un plan de ville). À l’exemple du partenariat entre Google et l’office de tourisme de New-York. Pour finir, les équipes devront être formées à la mise en œuvre et à l’utilisation de ces nouveaux outils.

Le déploiement d’une stratégie e-touristique est donc un véritable investissement financier. Cependant, on imagine difficilement qui pourrait s’en passer à l’heure où l’utilisation d’Internet pour préparer son séjour est rentrée dans les mœurs.

Crédits photos : Accor hotels