Le bouche-à-oreille permet depuis des millénaires un échange d’information. Aujourd’hui le web a bouleversé ce schéma de transmission de l’information. N’importe qui a accès à n’importe quelles conversations. Dans cette logique, toute idée soumise peut être analysée et partagée. Mais quels sont les facteurs d’une propagation optimale de l’information ?
L’erreur commune est d’imputer la viralité d’une idée à sa qualité. « J’ai partagé cette vidéo car elle est intéressante et m’a fait rire ». Ce postulat est faux. D’autres facteurs, plus « scientifiques », permettent d’assurer une bonne transmission du message.
En effet, l’approche générale des médias sociaux tend à mystifier le phénomène de « buzz ». Les recommandations superficielles telles que d’engager la conversation, de dorloter sa communauté, ne suffisent plus. Alors, peut-on vraiment contrôler ce phénomène de propagation ? Le modèle de Dan Zarrella, intitulé « Hierarchy of Contagiousness », nous montre que c’est possible.
Les marques peuvent aujourd’hui optimiser leurs « brand content » afin d’amplifier leur caisse de résonance. Voici les deux étapes à ne pas manquer :
- Être exposé sur les médias sociaux : plus vos comptes Facebook, Twitter, Pinterest, etc. seront développés et suivis, plus votre message sera visualisé.
- Motiver les internautes à partager ce contenu. L’implication est la clé ! Plus le contenu est percutant, plus il sera relayé. Le « call-to-action » parachève ensuite l’incitation via un lien clairement visible qui indique l’action à effectuer (« Acheter », « S’inscrire » ou encore « Télécharger »)
Si la viralité d’un contenu n’est pas une science exacte, elle peut être largement encouragée !
Sources : Brian Solis et Dan Zarrella