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[La bonne nouvelle du mercredi] Le magasin Le Yéti à Montpellier a confié une nouvelle mission à SWiTCH !

Le Yéti, magasin près de Montpellier spécialisé dans l’outdoor et la montagne, a confié à SWiTCH la mise en forme de sa page Fan sur Facebook, la création de sa ligne éditoriale pour la production d’un brand content de qualité et la formation de son personnel aux techniques de community management.

Désormais, vous pouvez suivre ici et les aventures de Michaël et de son équipe passionnée de sports en montagne !

[La bonne nouvelle du mercredi] La société des Téléphériques de la Grande Motte à Tignes confie son community Management à SWiTCH !

Nous avions fait un peu de teasing sur nos timelines Facebook et Twitter récemment. La nouvelle est désormais officielle : la Société des Téléphériques de la Grande Motte (STGM) à Tignes, en Savoie, confie son community Management à SWiTCH pour 12 mois !

La STGM accueille depuis plus de 40 ans des visiteurs internationaux passionnés de ski. Elle est concessionnaire de l’ensemble des remontées mécaniques de Tignes et emploie en hiver 300 personnes saisonnières et permanentes. Depuis 1989, elle fait partie du Groupe Compagnie des Alpes, pour lequel de Département Marketing de SWiTCH a réalisé plusieurs études de 2008 à 2010.

Comment créer une chaîne YouTube percutante ?

Huit ans après son lancement, YouTube compte officiellement 1 milliard d’utilisateurs par mois et près de 100h de vidéos uploadées chaque seconde ! Au milieu de cette masse de contenu, le service vidéo de Google offre aux marques la possibilité d’accroître leur visibilité sur le réseau, notamment via les chaînes. Focus.

Hiérarchiser et organiser les vidéos d’une chaîne est tout d’abord primordial pour offrir sens et clarté à l’internaute. En ce sens, des playlists peuvent être crées à volonté selon des thématiques choisies (évènements, produits, activité interne etc.) afin de regrouper les vidéos. Nous avons sélectionné la chaîne YouTube de la marque Petzl pour illustrer ces propos.

 

Il est indispensable d’attacher de l’importance au design de la chaîne et de choisir des visuels caractéristiques de la marque. Les nouvelles chaînes lancées depuis peu permettent dès à présent, en plus du logo, d’uploader une bannière figurant en haut de page. Lier la chaîne YouTube de la marque à son site web ou d’autres comptes sociaux – par des liens visibles sur la bannière – est également un moyen efficace de valoriser sa présence sur d’autres plateformes en lignes ! Évidemment, attention à choisir un titre de chaine pertinent et dont l’url sera référençable facilement sur le web.

Pour ce qui est des vidéos, la HD est quasi-indispensable (au moins 720p) pour une chaîne qualitative, tant sur le contenu que sur la forme. Certains formats comme .mp4 offrent de meilleurs résultats. Il est important de choisir également une miniature vidéo qui soit percutante et visuellement attractive. Il faut que l’internaute ait envie de cliquer ! Enfin, mettre en valeur une vidéo est possible : celle-ci se retrouve en haut de page, en grand format et prête à la lecture.

 

 

Autre point essentiel à considérer, voici les mots clés. Ces derniers permettent d’être visible sur le moteur de recherche YouTube mais plus généralement sur du référencement global. Attention donc à choisir des titres de vidéos courts, pertinents et contenant les mots clés caractéristiques. La description est également clé et doit être soignée, tout en sachant qu’elle est coupée dès 180 caractères (clic nécessaire au-delà pour que l’internaute voit le reste de la description). Évidemment, renseigner le champ « Tags » est plus que nécessaire lors de l’upload d’une vidéo. Là encore, choisir des termes pertinents et susceptibles d’être tapés par l’internaute lors de sa recherche.

Lier les vidéos entre elles ou bien créer une passerelle directe vers la chaîne YouTube – via les annotations – est un autre moyen de développer le trafic des vidéos de cette même chaîne. Situé sous les vidéos (si connecté en tant qu’administrateur), l’onglet Annotations permet d’ajouter des liens cliquables sur une production. Attention cependant à ne pas en abuser. Mieux vaut les placer discrètement et temporairement au début/fin de la vidéo pour ne pas être trop intrusifs. Cette mise en réseau des vidéos (tout en gardant une cohérence sur les thèmes des vidéos) permet une meilleure visibilité de celles-ci et au final de la chaîne liée.

Comment identifier ses ambassadeurs sur les média sociaux ?

Par définition, les ambassadeurs s’attachent à valoriser une marque grâce à des écrits spontanés et à forte valeur ajoutée sur les média sociaux. Quels outils ou méthodes sont donc à la disposition des marques pour identifier ces ambassadeurs au sein d’une communauté en ligne ?

ANALYSE QUALITATIVE

Les messages de remerciement ou les posts de photos de produits en action constituent une valeur forte pour les marques, leur permettant d’obtenir une crédibilité supplémentaire vis-à-vis de leur communauté et de leurs clients.

Les marques peuvent également solliciter et donner la parole aux internautes afin de détecter les ambassadeurs de la marque et donc les personnes sur lesquelles éventuellement s’appuyer pour promouvoir leurs produits dans des actions digitales futures.

 

 

ANALYSE QUANTITATIVE 

Des outils permettent de mesurer de façon quantitative les données d’une page afin de visualiser quels sont les internautes de votre communauté les plus actifs sur une période précise. Sur Facebook, des applications telles qu’AgoraPulse ou Graph-O-Meter permettent d’établir un classement selon des critères prédéfinis (nombre de likes, nombre de publications, nombre de commentaires ou encore la polarité des messages).

Sur Twitter, Twoolr ou encore Who Tweeted Me? permettent d’évaluer statistiquement la portée de vos posts et vos followers influents. Le premier permet ainsi de connaître via des outils le classement des followers les plus actifs en lien avec un compte (RT, #FF ou encore les mentions). De façon globale, Twoolr permet de connaître les followers entrant en contact avec un compte ou parlant de ce compte sur Twitter.

RECHERCHE DE CONTENU PERTINENT

Les bloggeurs, qu’ils soient rémunérés ou qu’ils écrivent de façon spontanée et gratuitement, se posent également comme ambassadeurs des marques. En ce sens, un post Facebook ou Twitter d’un internaute relayant un de ses articles de blog a par exemple une vraie valeur ajoutée par rapport à un post classique. C’est ce type de posts que le community manager de la marque devra s’attacher à repérer et entretenir un échange privilégié avec ces ambassadeurs de marque.

 

Pourquoi les adolescents se désintéressent de Facebook ?

Difficile à croire tant le réseau est synonyme d’image jeune et archi-branché ! Pourtant, une étude réalisée par l’institut Piper Jaffray illustre comment Facebook est nouvellement boudés par les adolescents.

A la question : « Quel est le réseau social le plus important pour vous ? » 42% des adolescents ont répondu Facebook en 2012 contre 33% en 2013.

Cette chute spectaculaire est contrebalancée par une augmentation de la popularité des réseaux tels que Twitter, Instagram ou Tumblr.

Comment expliquer cette tendance ? Les adolescents sont lassés du partage compulsif et systématique, ce qui les a amusés un certain temps les effraye à présent. Trop de mises en garde contre les contenus générant une réputation irréversible les ont éloignés de la plateforme. La pérennité de leurs actes est trop lourde pour ces ados qui sont encore insouciants et spontanés. Ils ont besoin d’une instantanéité sans conséquence. Les réseaux de messagerie ou de partage de photos à utiliser sur Smartphones voient ainsi un succès croissant.

Une application comme Snapchat permet de prendre une photo avec son téléphone portable de l’envoyer à un ami, qui la reçoit, rigole, puis la photo disparait. C’est la beauté de l’instant qui prime, pas la qualité de la photo. Il n’y a pas de trace gênante, juste un moment partagé entre amis.

WhatsApp bat des records de messages échangés par jour. Cette application de messagerie instantanée ayant la même fonction que les sms, mais sans avoir à payer pour le service connaît un succès considérable auprès d’une classe de population a faible pouvoir d’achat.

Twitter gagne également en popularité avec une deuxième place dans le classement de popularité des médias sociaux. 30% des adolescents ont voté pour ce réseau comme étant le plus important à leurs yeux.

Le géant précurseur de l’échange et du partage intensif voit ses limites se dessiner progressivement. La jeune classe a encore une fois voté pour des contraintes quasi nulle et une liberté grandissante.

 

Illustration : http://mcetv.fr

Quelles opportunités pour Vine et les professionnels ?

Nous vous avions présenté l’application Vine il y a quelques temps, soulignant son originalité et son potentiel de développement. Intéressons-nous cette fois-ci aux opportunités d’utilisation par les professionnels au sein de leur stratégie digitale !

4 mois après son lancement, le réseau continue sa progression rapide. Voici quelques chiffres caractéristiques: une vidéo Vine est 4 fois plus partagée qu’une vidéo classique sur le web, 5 tweets contenant une vidéo Vine sont postés chaque seconde ou encore il y a actuellement 4% de brand content sur le top 100 des vidéos Vine. Mais comment les professionnels peuvent-ils faire de ces posts vidéo de 6 secondes un véritable brand content ?

1) PRÉSENTER LE BACK OFFICE ET L’ENTREPRISE

Mettre en scène son équipe de façon originale et faire découvrir les coulisses de l’entreprise est divertissant pour les membres de votre communauté en ligne. Cela permet une certaine humanisation de la relation entre la marque et le consommateur, notamment grâce à l’aspect « amateur » de ces vidéos Vine tournées au smartphone. Mettre en valeur l’histoire de l’entreprise peut également être valorisant pour la marque.

 

 

2) FAIRE UN TEASING

Dans le cadre d’un lancement de produit, de l’annonce d’un évènement, l’application peut s’avérer intéressante pour un teasing court et engageant ! Cela permet d’autant plus une originalité intégrée à un post Twitter ou Facebook et une captation plus aisée de l’attention de l’internaute.

3) VALORISER UN PRODUIT, UN SAVOIR-FAIRE

Vine peut également être envisagé sous une optique de valorisation d’un savoir-faire ou d’un produit en particulier. Cela peut être une excellente introduction à de nouveaux consommateurs au sujet de votre produit et un rappel pour les clients actuels.

 

 

4) METTRE EN VALEUR LA COMMUNAUTÉ

Élire la vidéo Vine d’un ambassadeur en ligne de votre marque pour le valoriser et faire participer la communauté est également intéressant. L’aspect participatif est un vrai vecteur de viralité et permet une implication des internautes.

5) FAIRE DÉCOUVRIR L’UNIVERS DE LA MARQUE

Un focus sur l’univers de la marque ou sur certains athlètes ambassadeurs par exemple est un vrai plus dans le cadre de l’animation d’une communauté de marque sur Internet.

 

 

6) ORGANISER UN JEU CONCOURS

Toujours en gardant à l’esprit que ces vidéos courtes doivent être divertissantes, organiser un jeu concours peut être une façon originale d’impliquer votre communauté et de recruter de futurs « fans » de votre marque grâce à l’aspect participatif et aux lots mis en jeu.

 

En conclusion, cette liste d’idées est bien sûre non exhaustive. À vous de faire preuve de créativité pour divertir vos followers, communiquer de façon originale et développer votre image de marque !

Comment apprivoiser l’Edgerank de Facebook ?

Si les marques accordent de plus en plus d’importance aux stratégies digitales, la problématique du retour sur investissement reste prégnante. Bon nombre d’entre elles ont choisi de créer une page Facebook et s’appuient sur la taille de leur communauté comme boussole. Toutefois, 96% de leurs fans ont liké leur page mais n’y reviennent jamais. Face à cette statistique non négligeable, comment les marques peuvent-elles s’assurer de toucher leur communauté online ?

Aux Etats-Unis, par exemple, le temps consacré à la consultation du fil d’actualité Facebook (ou « newsfeed ») est supérieur à la fréquentation combinée des six plus grands sites d’information du pays. La solution est donc trouvée ! Si les fans ne viennent pas aux marques, elles viendront à eux. Or, apparaître sur le fil d’actualité de sa communauté n’est pas chose facile…

C’est ici qu’intervient l’Edgerank de Facebook, algorithme qui privilégie certaines publications. Afin de maximiser ses chances de visibilité, trois critères sont à prendre en compte :

  • Les affinités
  • Le type des publications
  • La durée de vie des publications

L’infographie qui suit permet de mieux comprendre et de mieux apprivoiser ce fameux algorithme qui régit la visibilité sur Facebook.

 

Et si vous envoyiez votre profil Facebook en vacances ?

 

En lançant l’application MyCapeTownHoliday, la capitale sud-africaine innove et présente sa destination sous un nouvel angle. Retour sur une campagne originale et engageante qui a séduit plus d’un internaute !

Face à la problématique de redynamisation de sa fréquentation touristique, Cape Town a fait la démarche de mettre en avant les lieux les plus insolites (et souvent les moins fréquentés) de la ville. Loin des photos paradisiaques de TripAdvisor ou de LonelyPlanet, la ville a collecté des milliers de photos plus surprenantes les unes que les autres.

Le concept est simple : en s’inscrivant via un formulaire en ligne, l’utilisateur autorise Cape Town à publier automatiquement des messages sur son profil Facebook. Durant cinq jours, son compte Facebook s’offre donc virtuellement une escapade sud-africaine et fera découvrir quotidiennement à sa communauté les merveilles cachées de la région (via des photos, des statuts et des vidéos). Si le participant est plutôt sportif ou friand de visites culturelles, l’application propose même de choisir ses activités préférées sur les cinq jours. D’après les anecdotes des utilisateurs, nombreux sont leurs amis qui ont cru à leur départ soudain pour l’Afrique-du-Sud !

 

 

Pour ne pas être redondant et proposer chaque jour un contenu pertinent, la ville a du programmer plus de 400 statuts différents, 150 vidéos et 10 000 photos de vacances. Enfin, pour accroître la participation, un séjour à Cape Town était à gagner, mais cette fois-ci pour de vrai 🙂

Si certains jugent le concept comme intrusif, les résultats de l’opération sont extrêmement  positifs :

  • Près de 30 000 personnes ont utilisé l’application.
  • Plus de 580 000 personnes ont découvert l’opération via Facebook.
  • Les retombées presses sont équivalentes à un budget de 30 000 euros.
  • Des records historiques de fréquentation ont été enregistrés sur certains sites.
  • Le tourisme global a augmenté de +4%.
  • Enfin, la ville constate déjà une augmentation de +118% sur les réservations pour l’an prochain.

En transformant de simples inconnus en ambassadeurs de la ville, Cape Town s’est assurée une visibilité à un très large potentiel d’audience (proches, amis des amis, etc.). La ville a également pu enrichir son carnet d’adresses avec des milliers d’emails qualifiés. Une démarche qui devrait inspirer, on l’espère, de nombreuses destinations !

 

Le visuel a de l’avenir !

Les nouveaux outils que sont les média sociaux permettent aujourd’hui aux entreprises de créer un univers autour de leur marque et de faciliter l’identification des consommateurs. Avec l’apparition des réseaux comme Pinterest et des applications mobiles comme Instagram, une nouvelle forme de communication a vu le jour. L’image représente un enjeu capital pour les marques qui cherchent sans cesse à aller au-delà du texte. Analysons pourquoi l’avenir sera multimédia…

Par nature, les réseaux sociaux facilitent la viralité de l’image. Si le tweet de Barack Obama « Four more years », le plus retweeté (plus de 800.000 retweets), a eu un tel impact sur la toile, c’est grâce à l’image forte qui y était associée, à savoir le Président enlaçant son épouse.

A l’heure actuelle, les marques ont bien compris l’intérêt d’utiliser des images sur les média sociaux. Après la tendance (ou plutôt le retour !) du format GIF sur la toile, c’est au tour de Facebook de lancer prochainement ses « images interactives » et décliner une plateforme de veille multimédia. Dès que nous survolerons les visuels sur Facebook, un contenu supplémentaire apparaîtra en pop-up. Les marques pourront donc bientôt utiliser cette nouvelle fonctionnalité imaginée par la startup ThingLink, afin d’enrichir leurs visuels avec de la musique, ou encore de la vidéo…

 

 

Véritable nouveauté qui viendra encore compléter le storytelling des marques, cette propriété s’accompagnera d’une fonction « analytics » payante qui permettra d’évaluer précisément les retombées des publications.

Toutefois, un terrain reste encore inexploité : celui des images partagées sur la toile par les autres internautes, et non par la marque elle-même. Ces visuels suscitent des émotions et des réactions qui ne sont pas « sous contrôle » et peuvent rapidement devenir néfastes pour l’entreprise en question.

De manière globale, les images ont révolutionné notre relation à l’information. Avec nos smartphones dotés d’appareils photos à plusieurs millions de pixels, le concept d’images « virales » est né et a bouleversé la manière de traiter l’actualité. Les relais de l’ouragan Sandy sur la côte Est des Etats-Unis ou encore plus récemment, celui des attentats lors du marathon de Boston nous font prendre conscience de l’impact du multimédia.

L’entreprise LTU Technologies, en charge de la surveillance des contenus visuels, vient de publier une infographie (ci-dessous) sur ce sujet et met en garde les marques quant à la problématique de surveillance globale des espaces numériques. Une mise au point qui viendra surement bouleverser certains monitorings…