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Le baromètre des stations de montagne françaises sur les réseaux sociaux – Octobre 2014

Quelles sont les stations de montagne françaises les plus influentes sur les réseaux sociaux ? Après les résultats pour Juillet, Août et Septembre 2014, voici aujourd’hui ceux d’Octobre.

 

La mise à jour de la méthodologie

Afin de rendre cet outil le plus révélateur possible, nous avons fait évoluer notre méthode de calcul concernant Facebook. Ainsi, à partir de ce mois-ci l’indice d’engagement a été calculé à partir de l’engagement moyen par publication, alors que nous calculions l’engagement total pour les mois précédents. Cette méthode nous semble plus judicieuse, car l’activité sur le compte est déjà récompensée par le biais d’un autre critère. En effet, il ne suffit plus maintenant de faire un grand nombre de publications pour espérer avoir un indice d’engagement élevé à la fin du mois. Cette méthode récompense donc les stations qui publient avant tout un brand content de qualité et qui ont un fort noyau de fans engagés.

Toujours pour Facebook, nous avons aussi scindé le classement des stations en deux groupes : celles dont la page comporte plus de 10 000 fans et celles qui comptent moins de 10 000 fans. Nous avons appliqué un barème de notation concernant l’indice d’engagement légèrement différent à chacune de ces deux catégories (Plus de détails sur la méthodologie ici). En effet, cet indice est toujours beaucoup plus élevé pour les « petites » communautés. Ainsi, il n’était pas cohérent de comparer Chamonix (+80 000 fans le jour du relevé… et qui semble en avoir perdu 5000 depuis !) avec Lans-en-Vercors (+2900 fans) par exemple.

Nous avons aussi révisé à la hausse le barème de notation pour Instagram, afin qu’il soit plus en adéquation avec la réalité actuelle du réseau en matière d’influence et d’usage.

Au final, ces évolutions nous ont permis d’affiner cet outil. Nous rappelons cependant que cette méthodologie n’a pas la prétention d’être parfaite et que nous restons ouverts à toutes vos remarques et suggestions. En outre, nous réalisons tous les relevés à la main pour les 100 stations françaises que nous suivons, aucun outil mécanique ne nous ayant donné satisfaction à ce jour. Si un résultat vous semble étrange, n’hésitez pas à nous le signaler ! Demandez-le gentiment et nous serons ravis de procéder à des modifications si nécessaire.

Les principales évolutions en octobre 2014

Nous retrouvons La Plagne en tête de classement, une station qui a su développer sa stratégie Social Media avec succès au fil du temps. Chamonix et Serre Chevalier complètent le podium. Comme prévu, les premières chutes de neige ont agité les communautés en ligne et l’activité sur les différents comptes des stations a déjà augmenté à l’approche de l’hiver. C’était le thème récurrent dès les premières chutes de flocons et le hashtag #winteriscoming (en référence à la série du moment « Game of Thrones ») a été très largement utilisé sur le mois d’octobre.

Rendez-vous mi-décembre pour voir si l’ouverture des stations augmentera encore leurs activités et surtout l’engagement des communautés sur les réseaux sociaux !

Le baromètre des stations de montagne sur les réseaux sociaux – Septembre 2014

Quelles sont les stations de montagne françaises les plus influentes sur les réseaux sociaux ? Après les résultats pour Juillet et Août 2014, voici aujourd’hui ceux du mois de Septembre 2014.

Chamonix reste le numéro un incontesté. Cependant, comme nous l’avions pressenti, la station de La Plagne se hisse à la deuxième place de notre classement devant Serre Chevalier qui vient compléter le podium. Nouveauté pour la Rentrée, nous avons intégré les dix stations pyrénéennes les plus influentes sur les réseaux sociaux. Celles-ci n’ont pas à rougir de leurs homologues alpines puisqu’elles jouissent de communautés, certes plus petites, mais très réactives et investies, comme l’atteste le top 10 des indices d’engagement.

Rendez-vous mi-novembre pour voir l’effet des premières chutes des températures et l’arrivée de l’hiver sur l’engagement des communautés des stations françaises sur les réseaux sociaux !

Le développement touristique des destinations de montagne en été : pourquoi miser sur le VTT ?

En France comme à l’international, le VTT en montagne attire un public de plus en plus nombreux. D’après l’excellent Réseau Veille Tourisme, un sport qui rassemble 2 millions de pratiquants au Canada, ne peut pas être un sport de niche… Le VTT se démocratise et n’est plus seulement réservé à un public d’experts. Le balisage d’itinéraires spécifiques, les aménagements réalisés par les stations de montagne et l’évolution du matériel offrent désormais à chacun la possibilité de se faire plaisir sur les sentiers de montagne. Le VTT en montagne c’est aussi « un style de vie » associé aux sports de glisse qui rassemble : en France plusieurs évènements donnent rendez-vous aux passionnés de VTT (pros comme amateurs), à l’image de la Free Raid Classic aux 2 Alpes qui a regroupé cette année 1647 participants ou encore de la Coupe de monde de « mountain bike » dont des manches sont régulièrement accueillies par les stations françaises. Alors pourquoi les stations devraient miser sur le VTT pour développer leur fréquentation ?

Contexte

Cross-country, enduro, descente, free-ride…les disciplines varient en fonction du terrain et des aménagements mis en place. La popularité grandissante du VTT de descente auprès du grand public, pousse aujourd’hui la plupart des stations de ski à s’équiper en « bike parks » pour la saison d’été et à adapter leur offre à tous les niveaux de pratiques. Car, si le public habituel du VTT de montagne comprend en majorité des hommes entre 25 et 45 ans, les plus jeunes sont également bien représentés, ainsi que les femmes, comme à Squamish aux Etats-Unis, où elles représentent 45% de la clientèle VTTiste !

L’intuition Nord-Américaine sur le potentiel touristique du VTT de montagne et ses retombées économiques

Outre atlantique, on a senti le vent tourner ! Canadiens et américains s’intéressent, depuis quelques années déjà, au potentiel touristique du VTT de montagne. Ainsi, la plupart des études de grande ampleur sur le sujet ont été réalisées par nos cousins nord-américains. Dans un article paru en 2011, Réseau Veille Tourisme parlait de faire du VTT de montagne un « produit touristique dynamique et excitant », relevant un engouement de 7% de la population pour ce sport et soulignant une offre attractive des destinations de montagne canadiennes, qui posséderaient les « pistes de vélo de montagne parmi les meilleures au monde ». L’article pointait également deux caractéristiques essentielles du public adepte du VTT de montagne : il possède un revenu élevé (pour le canada, 59% des pratiquants ont un revenu par ménage de 75 000 $ et plus) et aime voyager dans le but de pratiquer son sport, puisque « 80% des amateurs de VTT de montagne ont réalisé un voyage d’une nuit ou plus pour pratiquer leur sport ».

Ce dernier point ouvre un horizon de possibles pour le développement d’un tourisme lié au VTT de montagne, puisque cela transforme un pratiquant sportif en un visiteur potentiel pour une destination lointaine. Pinkbike place ce constat au centre de son analyse des impacts économiques du tourisme lié au VTT. Dans un article de juin 2014, le site publie une étude comparative de l’impact économique du tourisme lié au VTT sur différentes destinations de montagne. Les destinations analysées ont été sélectionnées selon deux critères : ce sont des « hauts-lieux » du VTT présentant une offre spécifique pour les pratiquants et il était possible d’obtenir des données pertinentes à leur sujet.

L’étude est basée sur une conviction : la pratique du VTT a un impact économique positif important sur une destination qui choisit de développer son offre en la matière. Une bonne expérience offerte aux pratiquants renforce la qualité de vie des populations locales et permet d’attirer des visiteurs extérieurs qui apportent des devises mais aussi de nouvelles idées !

Une communauté ouverte et familiale à fort potentiel économique

Selon l’étude de PinkBike, la durée moyenne de séjour dans une même destination pour un VTTiste est de 3 à 5 jours. Cette durée de séjour est dans la moyenne, voire supérieure à la moyenne des durées de séjour pour tous les publics touristiques confondus. De plus les VTTistes sont enclins à se déplacer dans une destination lointaine dans le but de pratiquer leur sport, et plus ils vont loin, plus leurs dépenses augmentent. On note un pouvoir d’achat plutôt élevé chez le public VTTiste avec une dépense moyenne par jour oscillant entre 60 et 100 $. Les VTTistes voyagent pour pratiquer leur sport mais ne forment pas pour autant des communautés exclusives de pratiquants. Un nombre croissant de visiteurs des destinations étudiées est accompagné d’un partenaire non pratiquant ou voyage en famille.

Les chiffres clé et grandes lignes de l’étude de PinkBike

L’aménagement d’un large réseau de pistes VTT importe autant (voire plus !) aux pratiquants que la présence d’un bike park : 52% des visiteurs de Whistler affirment venir pour les parcours exceptionnels plutôt que pour le bike park. Bellingham a également développé un grand nombre de parcours diversifiés et est apprécié pour cette particularité.

Pour la plupart des destinations étudiées, plus de la moitié des pratiquants ne sont pas des locaux et viennent souvent de loin pour pratiquer leur sport.

En 2007, 49% des VTTistes de Squamish n’étaient pas de la région et 30% d’entre eux venaient de destinations lointaines. On compte 54% de visiteurs à Rossland dont 23% qui n’étaient pas originaires du Canada. Golden quant à elle, affiche 75% de visiteurs !

La cible VTTiste s’élargie aux femmes. A Squamish le public feminin représente 45% de la fréquentation.

Les revenus de la clientèle VTTiste pour la plupart des destinations étudiées sont assez élevés. A Rossland, 48% des visiteurs possèdent un revenu moyen par ménage supérieur à 100K $. Le même revenu est relevé en Oregon chez 43% des VTTistes.

La pratique du VTT en montagne est en expansion dans la plupart des destinations citées et remporte l’adhésion d’un public toujours plus nombreux. En Suisse en 2010, 11,8 % des visiteurs pratiquaient le VTT. Le VTT se place également en Suisse parmi les activités les plus populaires devant le ski de randonnée, le tennis et le golf !

Les atouts pour devenir une destination « mountain bike » 

D’après l’étude de Pinkbike, c’est la combinaison de plusieurs atouts qui rend une destination attractive pour les VTTistes. Le premier semble être la présence d’une communauté locale passionnée et active de pratiquants, ainsi que d’une « bike culture » bien ancrée dans la destination. Le potentiel et la richesse du territoire ainsi que l’aménagement d’un large réseau de parcours représentent un second atout essentiel.

L’exemple de Squamish qui a vu augmenter fortement sa fréquentation par les VTTistes ces dernières années donne quelques pistes sur les bonnes pratiques à adopter pour devenir une destination prisée par ce public. Selon Jeff Cooke, président de la SORCA, cet engouement est dû à « la qualité des pistes, la réputation grandissante de Squamish comme destination VTT, la visibilité amenée par certains parcours d’exception comme Half and Full nelson, la visibilité qu’apportent les vidéos réalisées par des riders de niveau mondial à Squamish, les facilités d’accès et le développement général du VTT de montagne dans la région. »

Les points qui font débat

Cette étude, nous l’avons dit, est orientée vers une approche très positive de l’impact de la pratique du VTT sur les destinations de montagne (approche essentiellement économique). Cependant, cette vision peut se heurter à certaines critiques liées à la protection de l’environnement (impact des sports de nature sur la faune et la flore dus à la pollution ou à la simple présence de l’homme), au partage de la montagne entre les différents pratiquants qui empruntent les mêmes itinéraires et à la sécurité des VTTistes qui poussent parfois la pratique à l’extrême. Comme pour d’autres sports de nature, le développement de la pratique du VTT en montagne semble être soumis à l’acceptation par les pratiquants et les destinations d’une forme d’activité raisonnée et sensible à ces différents sujets.

L’offre française : panorama et premiers constats

En France, les opportunités de développement touristique liées au VTT en montagne ont aussi été repérées et nombreuses sont les stations de ski qui proposent une « version été » de leur domaine skiable, transformé en réseau de parcours VTT, pistes de descente ou bike park. Rentabiliser un domaine skiable, attirer la clientèle en montagne durant l’été, amortir les investissements engendrés par les remontées mécaniques, démocratiser la glisse sous toutes ses formes…les motivations au développement d’une offre VTT par une destination de montagne peuvent être multiples.

SWiTCH, Bike Solutions et Laurent Vanat ont mené en 2011 la première étude française sur les retombées économiques du VTT de descente : une analyse basée sur deux stations, les Deux Alpes et les Saisies, qui a permis de dessiner les grandes tendances d’une pratique en pleine expansion.

Les données recueillies sur la cible VTTiste amorçaient déjà les tendances décrites dans l’étude de PinkBike, largement axée sur des destinations Nord-Américaines (rappelons cependant que l’étude française concerne uniquement la pratique du VTT de descente) : le public VTTiste est en majorité un public masculin (87% des pratiquants) qui a plus de 35 ans et qui aime rouler en groupe (93%).

Les différences notables entre les 2 études portent sur la féminisation de la pratique que l’on ne trouve pas dans l’étude française, ainsi que la durée du séjour qui semble plus courte en France (60% des forfaits vendus sont des forfaits « journée »).

L’étude française pointe aussi d’autres données que l’on ne trouve pas chez PinKbike. Le public du VTT de descente n’est pas un public expert : 60% de la clientèle est d’un niveau « débrouillé » ou « débutant » ! La tendance dessinée par cette étude serait donc une certaine démocratisation du VTT de descente. Cela est confirmé par les offres développées par certaines stations, comme à Val d’Isère avec l’ouverture de pistes vertes de descentes, permettant aux petits et aux débutants de se lancer.

Concernant les dépenses réalisées par la clientèle VTTiste, elles sont en France aussi assez élevées. Un pratiquant de VTT de descente dépense en moyenne 653 euros pendant sa visite. Un pratiquant confirmé a tendance à dépenser plus qu’un débutant, bien que certaines stations comme les Saisies parviennent à dynamiser les dépenses des débutants. Aux 2 Alpes, la clientèle venue spécifiquement pour faire du VTT de descente a dépensé plus de 20 millions d’euros au cours de l’été 2011. Enfin, l’étude démontre qu’1 euro investi dans le forfait génère entre 8 et 12 euros de dépenses annexes, ce qui amène à la conclusion qu’avec un produit complet, le VTT de descente permet de dynamiser l’économie estivale d’une station entière.

L’offre française existante et les bonnes pratiques actuelles 

Pour se faire une idée du panorama français du VTT de montagne, voici plusieurs sites qui proposent des guides répertoriant les stations qui possèdent une offre en la matière :

Avec une offre mise en place il y a plus de 10 ans et l’organisation d’évènement spéciaux, les 2 Alpes jouissent d’une excellente image en termes de VTT. Les stations de Tignes et Val d’Isère, elles, ouvrent gratuitement leurs remontées aux VTTistes pendant toute la saison d’été. Mais quant à savoir quelle est la station préférée des riders… le débat a été lancé en 2006 sur skipass.com et on imagine qu’il continuera à faire rage dans les années à venir, si les stations saisissent à bras le corps cette belle opportunité touristique !

Le baromètre des stations de montagne sur les réseaux sociaux – Août 2014

Quelles sont les stations de montagne françaises les plus influentes sur les réseaux sociaux ? Après les résultats pour juillet 2014 publié ici, voici aujourd’hui ceux du mois d’Août 2014.

Peu de changements ont eu lieu, les stations aux avant-postes le mois dernier confortent leurs places. A noter la bonne performance de Vars qui se hisse à la troisième marche du classement général, aux côtés de l’Alpe d’Huez. La présence de plus en plus soutenue de la Plagne s’est aussi fait remarquer en Août.

Rendez-vous mi-octobre pour le prochain baromètre !

Plus d’informations sur la méthodologie disponibles ici.

 

A quoi ressemblera la montagne en 2040 ?

« La montagne en 2040 » est une étude prospective effectuée par le CESER (Conseil économique, social et environnemental régional Rhône-Alpes). La finalité de cette étude était d’identifier quatre scénarios possibles d’évolution du territoire de montagne en Rhône-Alpes en 2040. Pour cela, 24 variables ont été identifiées et pour chacune d’entre elles 4 hypothèses ont été prises, afin de définir 4 scénarios de territoire possibles en 2040. Enfin, ces derniers ont été confronté à 4 scénarios de contexte international, afin d’analyser la faisabilité de chaque scénario dans différents contextes extérieurs. Le champ d’étude est vaste et les résultats encore plus !

Nous avons donc tenté de résumer en quelques pages l’épais rapport produit par les équipes du CESER, afin d’y voir un peu plus clair.

 

Le baromètre des stations de montagne sur les réseaux sociaux – Juillet 2014

Quelles sont les stations de montagne françaises les plus influentes sur les réseaux sociaux ? L’infographie ci-dessous présente les résultats d’une analyse de fond effectuée sur tout le mois de juillet 2014. Un lourd travail de collecte et d’analyse de données qui a permis d’établir un baromètre précis sur les six réseaux sociaux les plus influents du moment (en Occident).

Ce classement se distingue d’autres existants dans la mesure où il ne se base pas simplement sur le nombre de fans ou d’abonnés, mais il prend surtout en compte les interactions qui existent entre la page d’une destination et sa communauté. Il permet donc de valoriser les stations de montagne qui utilisent au mieux les réseaux sociaux. Plus d’informations sur la méthodologie disponibles ici.

 

[La bonne nouvelle du mercredi] Pour la 4ème année consécutive, les Saisies font confiance à SWiTCH !

C’est avec un immense plaisir que nous annonçons cette collaboration en trois volets entre la Régie des Remontées Mécaniques des Saisies et SWiTCH pour la 4ème année consécutive ! 

Le baromètre du domaine skiable des Saisies
L’hiver dernier dans le cadre du processus d’amélioration continue de la qualité de l’accueil et des prestations du domaine skiable, nous avions créée un baromètre des remontées mécaniques. Celui-ci nous a permis d’évaluer avec précision et bienveillance l’accueil au départ et à l’arrivée des télésièges et des téléskis de la station. Cet outil, basé sur une grille d’analyse co-construite avec le personnel du domaine skiable, permet à chacun de connaître ses points forts et ses axes d’amélioration. L’objectif final est bien sûr d’assurer la meilleure expérience possible aux clients. Pour l’hiver 2014/2015, le baromètre s’étendra aux points de vente des forfaits et aux pistes du domaine skiable alpin. Une fois de plus, celui-ci sera co-créé avec le personnel de la Régie. Les audits sur le terrain seront réalisés par une équipe indépendante.

La formation du personnel
Au début de l’hiver 2012/2013, nous avions formé l’ensemble du personnel des remontées mécaniques et des pistes aux enjeux stratégiques de l’accueil touristique sur le domaine skiable, ainsi qu’aux bonnes pratiques à mettre en place. Cette année, nous aurons le plaisir de travailler avec les hôtes et hôtesses de vente d’une part sur la qualité de l’accueil et d’autre part sur la prévention et la gestion des conflits.

La présentation des métiers de la Régie des remontées mécaniques des Saisies
L’hiver dernier, nous avions réalisé deux films à usage interne sur les métiers de pisteurs-secouristes et de conducteurs de remontées mécaniques avec la collaboration du personnel. Ces courts-métrages visent à présenter ces métiers concrètement et sans faux-semblant : comment y parvient-on ? en quoi consistent-ils au quotidien ? quelles sont leurs difficultés ? en quoi sont-ils plaisants et enrichissants ? Une douzaine de personnes ont ainsi pu témoigner de leur quotidien professionnel. Cette année, nous poursuivons cette démarche avec trois autres films sur le même format dédiés aux métiers de la neige (Dameur, Nivoculteur, Mécanicien, Electricien), aux métiers de la vente (Hôtesse de vente) et aux services administratifs (Secrétariat, Comptabilité, Direction, etc.).

[La bonne nouvelle du mercredi] Le CRT de Franche-Comté nous confie l’élaboration et réalisation d’un dispositif de campagne grand public spécifique au tourisme culturel et urbain !

En 2013, nous avions eu le plaisir d’accompagner la Franche-Comté dans la création de ses stratégies de marques. Cette année, le Comité Régional du Tourisme vient de nous confier l’élaboration, la réalisation et l’évaluation d’un plan d’actions B to C sur les marchés Français, Allemand et Suisse pour la gamme relative au tourisme culturel et urbain.

Au programme pour cette nouvelle collaboration sur les douze prochains mois, un dispositif cross média combinant :

  • Opérations événementielles de grande ampleur en ambient et en experiential marketing
  • Tournages de films publicitaires
  • Déploiement de dispositifs vidéos sur le web
  • Jeux-concours en ligne et sur le terrain
  • Community management dédié sur les réseaux sociaux
  • Création de brand content
  • Campagnes publicitaires
  • Relations presse 2.0 (blogueurs et influenceurs sur les réseaux sociaux)