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Panorama des médias sociaux 2013

Cette année encore, le site médiassociaux.com publie son panorama 2013 et passe en revue les médias sociaux qui feront l’année 2013. Bien que le trio de tête (Facebook, Twitter et Google+) reste indétrônable, des changements sont à noter sur certaines tendances d’utilisation. Focus.

Les médias sociaux basés sur la photo (Pinterest, Instagram, Tumblr) sont ainsi plus que jamais en croissance et connaissent un engouement croissant de la part des internautes. Parallèlement, on observe un développement rapide de services de messagerie instantanée sur mobile tels que Whatsapp. A l’évidence, l’année 2013 sera globalement marquée par les applications sociales sur mobile, celles-ci permettant toujours plus d’instantanéité, de mobilité et une meilleure facilité d’utilisation. Certains médias sociaux asiatiques (Renren, Mixi) ou russes (VKontakte) connaissent également une forte croissance.

A l’inverse, on observe une disparition des médias sociaux de géolocalisation type Foursquare de ce panorama. Les utilisateurs semblent en effet se lasser de ce type de service social, peu de fonctionnalités novatrices ayant vu le jour jusqu’à maintenant. Le site souligne également la mise hors-course de certains médias importants comme Posterous, racheté par Twitter. Enfin, les médias basés sur les jeux sociaux et le social commerce n’apparaissent plus dans le panorama, étant considérés comme en perte de vitesse.

Vine : 6 secondes de vidéo en une application !

Rachetée par Twitter et lancée début février 2013, l’application Vine connaît un franc succès depuis sa mise en ligne récente sur l’Apple Store. L’idée ? Capturer de courtes vidéos de 6 secondes et les partager instantanément via Twitter et Facebook, avec les traditionnels #hashtags et la géolocalisation !

Un système de capture séquencé permet à l’internaute de tourner plusieurs plans de façon simple et sans montage a posteriori. Les animations courtes résultant de ces « one-shots » s’apparentent fortement aux images .gif traditionnelles, le son en sus. Mais l’intérêt de l’application réside en la créativité et l’aspect synthétique demandés à l’internaute pour faire passer un message visuel précis en un laps de temps aussi réduit. Aussi, on peut aisément faire le parallèle des 6 secondes avec les 140 caractères demandés par Twitter pour ses propres posts, caractéristique qui a sans aucun doute séduit le réseau social américain.

Alors que nombreux internautes ont été tentés par le concept, certaines marques surfent déjà sur ce qui pourrait devenir un phénomène. L’intérêt est non négligeable : quoi de plus efficace et original que de communiquer en 6 secondes sur une destination touristique, un produit, l’histoire de la marque ou tout simplement un univers ? Mini web série ou plans en stop-motion peuvent ainsi devenir de vrais outils d’enrichissement du brand content produit par les marques.

Nous avons tenté l’expérience Vine hier après-midi au WhiteLab (qui n’a jamais si bien porté son nom ! :-)) alors qu’il tombait de gros flocons et avons publié sur Twitter notre premier « Vine post » dont vous pouvez redécouvrir les images ci-dessus.

Et vous, comment allez-vous utiliser Vine ?

Twitter vu du ciel…

Avec plus d’un demi milliard d’utilisateurs dans le monde, Twitter surfe sur la vague du succès… Pour s’en rendre compte, c’est simple : filez sur Tweet ping, nouveau joujou des « twittaddicts » !

Et si vous pouviez visualiser en temps réel la localisation des tweets du monde entier ? Tweet ping est une projet créé par Franck Ernewein (eh oui un frenchy !) qui permet de découvrir à chaque seconde la progression de Twitter vue du ciel.

Lorsque vous arrivez pour la première fois sur la page tous les compteurs sont à zéro et la carte est noire… Très vite, les continents les plus actifs sur le réseau s’illuminent !

Vous pouvez également découvrir le dernier hashtag (ou mot dièse, ou encore croisillon pour nos amis québécois !) et la dernière mention selon la zone géographique.

Alors certes, Tweet ping ne « brille » pas par son utilité, mais, chauvins que nous sommes, nous saluons l’initiative 😉

Marketing Communautaire, faites-en bon usage ! – Etude de cas : Salomon et son application Powfinder

La forte croissance du nombre de medias sociaux ces dernières années a souvent poussé les marques à multiplier leur présence sur ceux-ci. Le terme « communauté » s’est rapidement généralisé pour caractériser les membres en interaction. Dans ce cadre-là, on constate de plus en plus que les marques ont tendance à négliger les principes de base de la communauté, à savoir que l’internaute est central. Pour cause, il est lui-même à l’origine des interactions et surtout générateur de contenu. Il est donc indispensable pour les marques souhaitant fédérer une communauté de baser leur stratégie sur les bénéfices potentiels pour l’internaute à rejoindre cette communauté. Etude de cas : Salomon.

Salomon et son application Powfinder
La marque de ski a lancé depuis quelques temps son application dédiée aux conditions d’enneigement. Celle-ci se démarque des nombreuses autres applis dédiées au même sujet grâce à l’aspect communautaire mis en place. Téléchargeable sur l’Appstore ou sur Google Play, cette interface permet avant toute chose à l’utilisateur de connaître avec précision les conditions météorologiques et d’enneigement dans la station de son choix grâce aux données fournies par le réseau Wepowder et aux alertes neige notifiées sur mobile. Parallèlement, il est possible de se connecter via son compte Facebook pour rejoindre la communauté de skieurs.

Le partage de photos via un smartphone et l’ajout d’informations de dernière minute sur la hauteur et la qualité de neige, le vent ou encore le traçage donnent lieu à un échange entre les utilisateurs de façon continue, enrichi par la possibilité de commenter chaque « snow report ». Il est également possible de partager ces informations sur Facebook ou Twitter afin d’élargir le mise en commun de données.

Salomon profite par ailleurs de cette plateforme communautaire pour insérer des onglets donnant un accès rapide à sa web TV ou à ses fiches produits en ligne. Le bénéfice est donc double pour la marque. Tout en donnant accès en temps réel à l’information à des passionnés et en leur permettant de devenir développeurs de leur propre communauté, Salomon a su à valoriser son image de marque ainsi que ses produits par la viralité des nouvelles technologies de l’information.

Comment faire certifier ses comptes sociaux ?

Faire vérifier et certifier votre page sur les réseaux sociaux reste un moyen sûr de faire rayonner votre image de marque de façon officielle et ainsi de minimiser certains risques liés à l’identité en ligne. Cela peut également  attester d’une certaine qualité et crédibilité de votre contenu. La certification se caractérise de façon générale par un logo positionné près du nom de page. Voici quelques explications sur les réseaux sociaux les plus connus proposant un tel système.

Twitter
Certainement le procédé le plus flou des trois réseaux ci-dessus, la certification Twitter reste concentrée sur des personnalités et utilisateurs reconnus du grand public. Certains critères comme le nombre de followers n’entrent pas en compte selon Twitter. De fait, il n’existe pas de démarche à proprement parler. Twitter se charge de contacter les titulaires des comptes éligibles afin d’en vérifier l’authenticité et attribue à sa guise le fameux logo bleu. Vous pouvez toujours tenter de contacter l’entreprise pour lui soumettre votre demande mais un mot d’ordre semble s’imposer : la patience !

Google +
Google propose depuis 2011 une vérification des pages, notamment auprès des entreprises et organisations. Plusieurs pré-requis sont nécessaires avant de soumettre votre demande :

  • Un lien vers le site web de votre organisation doit être placé sur la page en question ;
  • Votre site web doit être lié à Google+ par un badge ou un code placé dans la racine ;
  • Votre page doit avoir un certain nombre d’abonnés avant de pouvoir accéder à la procédure.

Vous êtes au point ? Passez donc à la dernière phase et remplissez le formulaire de demande de Google+ !


Pinterest
Depuis octobre 2012, il est possible pour tout utilisateur de Pinterest de certifier son compte via la vérification de son site Internet. La démarche est simple : il suffit d’intégrer un fichier HTML de validation à votre site web pour une certification quasi instantanée de votre compte Pinterest. Pour obtenir ce fichier :

  • Une fois connecté à votre compte, cliquez sur « Paramètres » ;
  • Cliquez ensuite sur « Verify Website », à côté de l’adresse de votre site Internet ;
  • Votre fichier HTML personnel à télécharger apparaît. Vous n’avez plus qu’à l’enregistrer et le placer dans la racine de votre site web ;
  • Sélectionnez « Click here » pour terminer le processus. Le logo de validation apparaît alors sur votre profil.

A noter qu’il existe une alternative, à savoir la validation par meta tag. A vous de jouer !

[La bonne nouvelle du mercredi] Merrell a confié sa stratégie digitale à SWiTCH !

En 2013, l’équipe de SWiTCH n’aura plus d’excuse pour ne pas tenir ses bonnes résolutions (du type « Faire du sport régulièrement« ), puisque nous allons désormais nous occuper de la stratégie digitale et du Community management de la marque de chaussures et vêtements Merrell !

Faisant désormais partie de Wolverine Worldwide (n°1 mondial du « Footwear » comme on dit chez les américains !), aux côtés de 16 autres marques de chaussures prestigieuses (Sebago, CAT, Harley-Davidson, etc.), l’histoire des chaussures Merrell débute en 1981 dans les montagnes de l’Utah où Randy Merrell, fabricant de bottes pour cow-boy, décide de se diversifier en se lançant dans la confection de chaussures de randonnée. La même année, Clark Matis et John Schweizer, nouveaux venus de la société Rossignol et passionnés d’outdoor, décident d’associer Randy à leur projet d’entreprise : la société “Merrell Boots Company” était née. 

La marque casse les barrières et les codes en considérant l’expérience outdoor comme une journée à l’extérieur, pleine de découvertes et de liberté. Au fil des années, Merrell diversifie sa gamme de produits selon ce principe. En complément des chaussures de randonnée, le géant américain a lancé des chaussures pour le trail running, les sports d’eau et pour d’autres activités outdoor. Merrell a depuis quelques années solidement ancré sa réputation grâce à ses célèbres modèles « barefoot ».

Vous pouvez désormais rejoindre la communauté française de Merrell sur son blog et sur les réseaux sociaux Facebook, Twitter, Pinterest et Instagram et découvrir les meilleures astuces pour pratiquer vos activités sportives préférées en étant bien chaussés !

 

Destinations touristiques : comment créer du contenu visuel à partager ?

La « photographie sociale » suscite toujours beaucoup de questions. Comment utiliser Pinterest ? Qu’en est-il d’Instagram ? Flickr est-il encore d’actualité ? Mais globalement, quelque soit le réseau social, la première question est toujours la même : comment faire pour que les photos soient épinglées, partagées, ou encore twittées ?

Le phénomène de « photographie sociale » a pour but d’influencer les masses en combinant un profil de marque et de beaux clichés. Toutefois, publier une photo impactante ou encourager les internautes à la partager n’est pas une tâche facile. Par exemple, s’ils ont déjà relayé des photos du Golden Gate Bridge, que peut ajouter une agence de voyage de San Fransisco à la conversation visuelle?

Lors d’un récent voyage, un arrêt éclair au centre de l’Utah a souligné le besoin insatiable des touristes de prendre des photos d’eux-mêmes, de préférence avec un signe distinctif désignant l’emplacement en arrière-plan. Forcé de constater ces habitudes, le personnel de l’Office du Tourisme de l’Utah a proposé une alternative ingénieuse aux traditionnelles photos du bord de route. Ils ont mis en place un immense panneau portant l’inscription « Welcome to Utah ». Le résultat ? Une ligne d’attente de plusieurs familles qui patientaient sagement pour prendre leur photo devant ces lettres surdimensionnées.

Il est certain que cet endroit, idéal pour les clichés de famille, apparaîtra sur Facebook ou encore Instagram. Finalement, les touristes publient des photos de leurs destinations si ces dernières leur donnent quelque chose d’intéressant ou d’original à partager.

De multiples exemples aux Etats-Unis s’ajoutent à la liste des succès. Le « California » de Disneyland qui a été retiré, et le fameux « Welcome to golden » localisé à Front Range dans les Rocheuses en font partie.

Nul doute que les individus adorent prendre et partager leurs clichés. Si les destinations touristiques souhaitent encourager et multiplier ce phénomène, elles doivent donc leur proposer une toile de fond idéale . Construisez un signe et le partage social opérera !

Twitter : quel bilan en 2012 ?

Les récentes études menées par Semiocast et Beevolve nous aident à y voir plus clair sur le réseau Twitter et sa portée. Revenons ensemble sur les chiffres clés à ne pas manquer et sur le profil des 500 millions de « twittos » dans le monde !

 

Avec plus de 7,3 millions d’inscrits en France en juin 2012, soit deux millions de plus qu’il y a six mois, Twitter connaît visiblement un fort succès. Pour la première fois, l’agence Beevolve a identifié le comportement utilisateur en analysant près de 36 millions de profils.

Quelques graphiques valent d’ailleurs mieux que de longs discours :

Selon ces deux études, le phénomène Twitter se propage dans le monde entier. Les Etats-Unis restent les leaders incontestés avec plus de 140 millions de comptes. De son côté, le Brésil devance le Japon avec un score important de plus de 40 millions de comptes utilisateurs. La France, elle, est relayée à la 18ème place mais affiche de bons résultats puisque Paris se situe à une belle 7e place, derrière New York et Bandung, avec un peu plus de 1 % des tweets envoyés dans le monde depuis la capitale française.

Quant au profil des utilisateurs, peu de surprises… Seulement 27% des utilisateurs sont considérés comme actifs sur le réseau. Les femmes (à 63,6%) sont les plus séduites par Twitter, sauf exception française où les hommes semblent plus présents. D’ailleurs, leurs intérêts sur le réseau divergent : les femmes préfèrent des thématiques comme la famille, l’art ou l’éducation, alors que les hommes eux relayent des informations sur les technologies ou le divertissement. De manière générale, le réseau social séduit en majorité les jeunes (73,7% des utilisateurs ont 15 à 25 ans). Pour la plupart (80%), ils n’affichent pas plus de 50 « followers » et inversement. C’est d’ailleurs tout l’enjeu pour les marques qui doivent produire un contenu pertinent si elles souhaitent renforcer leur communauté.

En revanche, selon l’étude, les freins se concentrent sur l’engagement et la géolocalisation. Pour preuve, seulement 0,77 % des tweets sont géolocalisés et 25 % des utilisateurs de Twitter n’ont jamais envoyé de tweets.

Si l’attitude des utilisateurs est clairement plus passive que sur Facebook, Twitter est devenu un outil indispensable – pour les marques et les individus – à la construction de son identité digitale et à l’amplification de son e-influence.

 

Source : http://alexitauzin.com/ – Les chiffres-clés de Twitter en 2012

« Client roi » sur les réseaux sociaux : mythe ou réalité ?

 

Après la course aux fans puis à l’engagement, certaines entreprises recentrent leurs stratégies « social media ». En améliorant leur présence digitale, ces dernières perdent parfois de vue la notion de client, pourtant capitale. En effet, si l’internaute devient « fan » de la marque, c’est un client avant tout…

 

Un retour au brand content « utile »
Une personne est exposée en moyenne à 1000 marques et messages publicitaires par jour et n’en retient qu’une dizaine. Dans ce monde bruyant, l’objectif des marques est de sortir du lot en créant un brand content utile. Or, les critères de visibilité, d’engagement, et de retour sur investissement brouillent souvent la donne et peuvent transformer un brand content à forte valeur ajoutée en un brand content « à engagement ». En d’autres termes, l’utilité de l’information s’efface au profit de sa propension à engager la communauté. C’est ainsi que certaines publications sur Facebook vous incitent à liker ou partager une photo plus ou moins pertinente.

Or, encore aujourd’hui, les internautes recherchent avant tout un contenu intéressant. 86% d’entre eux souhaitent trouver des conseils, des astuces, et autres informations pratiques sur la marque. Malheureusement la pratique est bien loin de la théorie, et trop peu d’entreprises sont vraiment à l’écoute de leurs clients…

 

Une orientation « client » à adopter
Selon Cédric Deniaud, fondateur du cabinet de conseil The Persuaders, l’orientation client d’une entreprise se matérialise par plusieurs démarches. D’une part, elle entreprend une stratégie multicanale afin de s’adapter aux nouveaux comportements de ses consommateurs. Par exemple, au niveau du service client, la marque peut créer un compte Twitter dédié comme KLM et son compte @KLMfares pour répondre sept jours sur sept aux requêtes des « followers ». Pour aller plus loin, ces différentes opérations ne doivent pas être imaginées dans une logique de campagne mais bien dans une logique de fil rouge. Cette cohérence dans les démarches et les canaux employés est nécessaire à une fidélisation de sa clientèle. Le service client de KLM doit donc être déployé sur Twitter, mais sans oublier les supports papier, électronique ou téléphonique. Une démarche multicanale réussie passe par l’harmonisation de ses supports.

Cédric Deniaud évoque également les « labs », ces exercices de plus en plus fréquents de co-création. En effet, il est intéressant de rappeler que les média sociaux ne sont pas, a priori, un lieu de communication pour les marques mais un lieu d’échange. La marque outdoor Raidlight associe depuis longtemps ses clients à sa démarche innovation. En testant les produits, le consommateur devient un véritable maillon de la chaine de création. D’ailleurs, un onglet dédié « Réalisé grâce à vous » met en avant les produits confectionné en co-création.

Enfin, comme le montre le graphique, une démarche externe ne suffit plus. Des synergies doivent être mise en place entre l’interne et l’externe. N’oublions pas que les premiers clients d’une entreprise sont ses employés !

 

Source

Top 15 des raisons pour lesquelles les utilisateurs se désabonnent des marques sur Twitter… et comment l’éviter

Après une première phase d’engouement, puis une deuxième phase de stagnation dans l’acquisition des followers sur Twitter, de nombreuses marques se rendent compte qu’elles sont entrées dans une troisième phase : elles sont peu à peu délaissées. Voici le top 15 des raisons pour lesquelles les utilisateurs se désabonnent et quelques clés pour enrayer ce mouvement. Si certaines motivations sont tout à fait logiques, d’autres sont en revanche plus surprenantes.
  1. Ecrire trop de tweets (52 %) : Essayez de vous limiter et préférez plutôt envoyer des messages privés (DM) à la place,
  2. Parler trop de soi-même (48 %) : Faites plutôt la promotion des autres personnes qui vous entourent,
  3. Envoyer trop de spams (47 %) : Le spam c’est mal ! 😉
  4. Poster trop peu de contenu à forte valeur ajoutée (43 %) : Réfléchissez avant de tweeter et privilégiez du contenu susceptible d’intéresser vos followers, comme des conseils ou des astuces,
  5. Répéter trop souvent ses tweets (29 %) : Vous pouvez réécrire un tweet deux ou trois fois en 24 heures mais pas plus,
  6. Automatiser son compte sans réfléchir (29 %) : Twitter est un réseau social sur lequel les relations humaines sont primordiales. Evitez d’agir comme un robot,
  7. Offenser ses followers (28 %) : Twitter est une place publique, certes virtuelle, mais publique tout de même. Ne proférez pas d’insultes et préférez le dialogue en privé pour résoudre un malentendu,
  8. Demander trop souvent des services (28 %) : Twitter est un formidable outil pour rendre service… mais il ne faut pas non plus en abuser,
  9. Ne pas écrire assez de tweets (27 %) : Même si cela influe moins que d’écrire trop de tweets, les échanges et le dialogue sont le principe même de Twitter. Essayez d’envoyer plusieurs tweets par semaine,
  10. Ne pas désactiver la publication automatique de check-ins Foursquare (22 %) : Savoir que vous vous trouvez à Monoprix ou à la Poste n’a pas beaucoup d’importance. Sélectionnez les endroits intéressants lorsque vous faites un check-in (concerts, conférence, match),
  11. Ne pas dialoguer avec ses followings et followers (21 %) : C’est très bien de poster du contenu intéressant. C’est encore mieux d’échanger avec les autres. Initier le débat par des questions, répondez aux tweets des autres,
  12. Ne pas vérifier l’orthographe de ses tweets (18 %) : Un tweet ne contient que 140 caractères. Autrement dit, une faute de grammaire ou d’orthographe ne passe pas inaperçue et vous décrédibilise. Un peu de relecture ne fait pas de mal,
  13. Trop ReTweeter (17 %) : Si vous ne donnez pas votre avis en écrivant vos propres tweets, on n’oubliera que vous êtes aussi une personne qui a ses propres opinions,
  14. Envoyer des DM automatiques et non personnalisés (16 %) : Un message de bienvenue est toujours agréable. Si vous n’avez pas le temps de les rédiger, essayez au moins de personnaliser vos messages automatiques,
  15. Mettre trop de hashtags (#) dans vos tweets (10 %) : L’utilité d’un hashtag est de pouvoir rapidement identifier le thème d’un tweet. Si vous ajoutez trois ou quatre hashtags dans un seul tweet, non seulement vous ferez mal aux yeux des vos followers, mais vous rendrez également la lecture et la compréhension de vos tweets difficiles.

Et vous, pourquoi vous désabonnez-vous des marques ?