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[La bonne nouvelle du mercredi] Lagrange a confié à SWiTCH une étude préalable au lancement de produits sur le marché nord-américain !

De New York à Los Angeles, en passant par Washington DC, Denver et Vancouver, ce sont plus de 9100 km que nous avons parcourus pour mener une étude de marché préalable au lancement des produits LAGRANGE sur le marché nord-américain. Spécialisé dans le petit électroménager de cuisine (PEM), la marque française qui exporte déjà dans de nombreux pays européens souhaitait réaliser son rêve américain.

D’octobre à décembre 2014, SWiTCH a donc réalisé une étude de marché et de benchmark visant à :

  • comprendre qui sont les consommateurs potentiels des produits LAGRANGE et leurs comportements d’achat,
  • évaluer leur intérêt pour les produits de la marque,
  • cibler leurs attentes en matière de produit de PEM, à détecter leurs besoins,
  • définir la(les) perception(s) par la clientèle potentielle de l’image, de la communication et des produits LAGRANGE,
  • identifier le marché et la distribution de PEM pour les produits LAGRANGE,
  • fournir des recommandations permettant à LAGRANGE d’affiner et mettre en place sa stratégie marketing sur le marché nord-américain.

Chiffres clés de l’étude :

  • 5 Focus groupes dans 5 villes aux USA et au Canada
  • 11 entretiens qualitatifs
  • 10 chaînes de magasins visitées et benckmarkées
  • 9 marques concurrentes de PEM benchmarkées
  • 648 photos prises sur le terrain
  • 265 p de rapport
  • 1 plan d’actions de communication complet
  • +100 recommandations

La vidéo qui résume cette belle aventure :

L’impact des J.O. sur l’image d’une station de sports d’hiver

Plus de 3,5 milliards de personnes ont pu voir les images des Jeux Olympiques de Vancouver sur les écrans d’ordinateur ou de télévision aux 4 coins du monde. Une étude réalisée par Tourism Whistler en partenariat avec Tourism British Columbia confirme l’augmentation de la notoriété de Whistler à l’étranger. Et ce, notamment au Royaume-Uni, en Allemagne et en Australie.

Les efforts effectués par la région pour accueillir et organiser au mieux ces jeux sont un réel investissement. Le tourisme des années futures à Vancouver dépend de l’image diffusée au monde entier pendant le temps des jeux. Un énorme coup de pub pour les visiteurs potentiels à l’avenir !

Ce sont aussi de nouvelles perspectives de marché. Les infrastructures sont capables d’accueillir d’autres manifestations sportives. À l’image des compétitions mondiales de skeleton et de bobsleigh prévues pour 2011. De plus, la forte capacité de logements constitue un autre atout à faire valoir pour Whistler.

Bref, sur de nombreux plans, les J.O. représentent pour Whistler et Vancouver un élan économique pour toute la région. Rendez-vous pour un bilan dans quelques années, afin de découvrir comment la région aura su tirer parti de cet événement !

Crédits photos: www.whistlerblackcomb.com

Bilan : Les jeux olympiques de Vancou-vert ?

Les jeux olympiques d’hiver de Vancouver sont terminés (mais les jeux paralympiques se déroulent encore jusqu’au 21 mars !), la plupart des athlètes et des visiteurs rentrés chez eux, l’heure est au bilan économique et …écologique !

Depuis 1994, le Comité International Olympique a rajouté officiellement l’environnement dans ses piliers. Il essaie aussi de prendre en compte les problématiques de développement durable à chaque étape du projet, de la candidature jusqu’à la clôture et au-delà. Zoom sur Vancou-vert…

Comme pour chaque ville olympique le dilemme est de savoir comment concilier une superbe image de modernité : « la vitrine que le monde entier verra », tout en respectant l’environnement local qui sera toujours présent après les jeux. Bref, il faut avoir une vision à long terme !

Vancouver s’est prise au « jeu » : bus fonctionnant grâce à des piles à combustibles, création d’un métro, incitation au covoiturage en entreprise… et après l’événement, la ville compense ses émissions de CO2 dans des projets locaux d’efficacité énergétique et d’énergie renouvelable.

Et il y en a des choses à compenser : importation de neige par camions et par hélicoptères, venue de milliers de visiteurs par avion, chauffage inhérent à ces activités, construction d’hôtels et de routes sur des sites naturels, etc. la liste est longue, hélas.

Pour autant, restons positifs car le CIO tient de plus en plus compte des problématiques de durabilité dans ses projets. C’est un processus long et beaucoup d’enjeux sont à concilier. Rendez-vous est donc pris en 2014 à Sotchi en Russie et, pourquoi pas en 2018 à Annecy !

On en profite pour remercier Julien M. de nous avoir signalé cet article sur le sujet !

Crédits photo: Vancouver2010.com

Des remontées mécaniques qui fonctionnent aux énergies « vertes » (Série « Développement durable » – 5/10)

Récemment 10 stations de ski françaises ont réalisé leur bilan carbone. Un premier pas pour analyser les sources majeures d’émissions de gaz à effet de serre. Sans surprise, le premier pôle d’émissions est le transport, un thème déjà abordé précédemment. Les sociétés de remontées mécaniques quand à elles, ne sont à l’origine que de 2% des émissions. Ce n’est cependant pas une raison pour s’en laver les mains et certaines sociétés l’ont bien compris.

Vous pensez que faire fonctionner une remontée au solaire ou à l’éolien c’est utopique ? Certains l’ont pourtant déjà fait…

Dans la station de Wilder Kaiser-Brixenta dans le Tyrol autrichien, un téléski fonctionnant entièrement à l’énergie solaire a été construit fin 2008. L’installation de panneaux photovoltaïques sur une surface de 105m² fournit 12.000 KW par hiver.

Direction le Canada pour une autre initiative renouvelable : à Grouse Mountain, près de Vancouver, une éolienne géante vient d’être inaugurée. Non seulement elle fournira 25% de l’énergie nécessaire aux remontées mécaniques du site mais elle dispose aussi d’une plateforme panoramique à 64 m de haut  accessible aux touristes.

Plus proche de nous et à moindre échelle, Vallorcine a adopté le téléski « écologique » pour les 3-5 ans : les parents pédalent pour que leurs bambins puissent remonter les 20 m de pente douce du fil à neige. « Tout a été créé à partir d’un vélo monté à l’envers. La roue arrière est fixée sur la plateforme de départ et la roue avant, c’est la poulie de retour » explique Paolo Bouissa, le directeur de l’ESF.

Certes, cela peut sembler être des gouttes d’eau dans l’océan, cependant ces projets novateurs montrent qu’un autre développement est possible avec des entrepreneurs qui ne manquent pas d’énergie !

Crédits photo : sigma composite et Dauphiné Libéré

Google vous emmène sur les pistes des J.O. de Vancouver 2010 !

Dans deux jours maintenant s’ouvriront les Jeux Olympiques d’hiver de Vancouver. C’est donc le moment idéal pour Google Maps de lancer son site web dédié aux Jeux. Ce site, en plus des actualités concernant les épreuves et leurs résultats, permet à Google de développer son outil de cartographie. On connaissait déjà Google Street View qui permet de visualiser une rue en détails grâce à des photos 360°. Google propose désormais le même concept décliné aux différents sites olympiques : le snow view.

Pour obtenir ces images, Google a adapté sa caméra et son système de GPS sur une moto-neige : la snowmobile. Ce véhicule a ensuite parcouru les rues de Whistler ainsi que tous les lieux où se dérouleront les épreuves olympiques. L’outil permet de visiter les différents sites comme si vous y étiez ! Gageons que dans un temps pas si lointain, les stations de ski françaises seront elles aussi ajoutées…